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Vous êtes un professionnel, vous souhaitez commander, distribuer nos boissons ou obtenir des renseignements sur les services proposés par Coca‑Cola European Partners ? Une équipe spécialisée vous répond du lundi au vendredi de 9h à 17h, voici leurs coordonnées pour les contacter directement:
- Téléphone : 0 800 436 436 (lors de votre appel tapez 1 pour entrer en relation avec un conseiller)
- e-mail: coca-cola@serviceclients-ccep.com
- Découvrez dès maintenant la plateforme en ligne Coca‑Cola European Partners, créée pour vous donner un accès direct aux produits et services: https://my.ccep.com/.
Le Point Vert indique l’adhésion de Coca‑Cola au financement du programme d’Eco Emballages qui vise à trier et à valoriser les déchets d’emballages ménagers. Ce point Vert est aujourd’hui présent sur 95% des emballages.
Le logo rond avec la bouteille contour est un élément de la charte graphique.
Depuis novembre 2011, il existe un nouveau logo sur les bouteilles de Coca‑Cola, celui de l’emballage PlantBottle. Coca‑Cola a introduit du plastique PET (polyéthylène téréphtalate) d’origine végétale pour les bouteilles de 50cl des marques Coca‑Cola, Coca‑Cola light, Coca‑Cola zero et Coca‑Cola cherry. Cet emballage est composé d’un nouveau plastique PET qui est d’origine végétale (jusqu’à 22,5%) associé à 25% de plastique PET recyclé. Il se recycle de la même façon que le plastique PET traditionnel, mais c’est un matériau innovant puisqu’il provient de la canne à sucre.
Aujourd’hui l’emballage PlantBottle de Coca‑Cola est produit et distribué dans 16 pays du monde parmi lesquels le Brésil, les Etats-Unis, le Canada, le Japon, le Mexique, la Suède, l’Afrique du Sud, l’Allemagne (…) et la France bien sûr. Pour l’ensemble de nos produits, les conditionnements sont recyclables à 100%.
Une loi en France suspend la fabrication, l'importation, l'exportation et la mise sur le marché de tout conditionnement, contenant ou ustensile comportant du Bisphénol A et destiné à entrer en contact direct avec les denrées alimentaires, et ce depuis le 1er janvier 2015.
À l'instar de l'ensemble du secteur des produits alimentaires et de ses fournisseurs, nous respectons scrupuleusement cette loi en France, comme nous respectons celle de tous les pays où nous sommes présents. La sécurité des consommateurs est notre priorité et nos boissons et nos emballages respectent des standards de qualité qui vont au-delà de la règlementation en vigueur.
Le recyclage du métal des canettes fournit 50 % de la matière première des nouvelles canettes.
Les bouteilles en verre vendues en café sont à nouveau remplies après avoir subi un nettoyage, un contrôle et un rinçage. Celles qui sont inutilisables pour être remplies une nouvelle fois sont éliminées dans les containers à verre puis recyclées. 35 % de verre recyclé compose la nouvelle bouteille en verre de Coca‑Cola.
Quant au PET, il est réutilisé pour la fabrication de nouvelles bouteilles ou, sous forme de fibres de polyester dans l’ameublement et l’habillement.
Coca‑Cola Entreprise utilise des canettes en acier et en aluminium. Ces matières peuvent se recycler à l’infini.
L'usage des bouteilles PET chez Coca‑Cola
Les trois lettres PET forment l'abréviation de polyéthylène-téréphtalate. Le PET est utilisé dans la fabrication des bouteilles en plastique Coca‑Cola, soit 32 % des emballages en unités, contre 60 % pour les canettes et 8 % pour le verre. Recyclables à 100 %, du bouchon à l’étiquette, les bouteilles en plastique PET Coca‑Cola sont composées d’un mélange de PET vierge et recyclé - un plastique provenant du site de recyclage Infinéo, en ligne avec le principe de l’économie circulaire. En France, l’intégralité de nos bouteilles en plastique sont d’ores et déjà recyclables à 100 % et composées de plastique PET recyclé à hauteur de 29 % en 2020. Aujourd’hui, les bouteilles de Smartwater, Honest et Fuze Tea sont toutes fabriquées à partir de 100% plastique recyclé. Les marques Coca‑Cola, Fanta et Sprite ont-elles aussi amorcé leur transformation, et contiennent 50% de plastique recyclé, avec pour objectif d’arriver rapidement à 100% de plastique recyclé.
Quelles sont les qualités des bouteilles en plastique PET ?
De plus en plus utilisé dans les industries agroalimentaire et pharmaceutique pour le conditionnement des liquides, le polyéthylène-téréphtalate est obtenu par condensation de l’acide téréphtalique et de l’éthylène glycol. Doté d’importantes qualités de conservation, le PET a une empreinte carbone faible. D’une part en raison de sa faible température de transformation (250°), quatre fois inférieure à celle du verre (1000°) elle permet de réaliser d’importantes économies d’énergie, d’autre part en raison de son faible poids ainsi que de sa résistance. Deux qualités qui permettent de réduire la quantité d’emballage des produits mais aussi les dépenses énergétiques liées au transport.
Pourquoi utiliser du plastique PET ?
L’un des avantages du plastique PET réside également dans le très faible coût énergétique de son recyclage. Une fois trié, le matériau parfaitement adapté au recyclage mécanique est compressé sous forme de billes prêtes à être réutilisées jusqu’à quatre fois. Le plastique PET peut également subir un recyclage chimique peu coûteux en énergie et permettant sa réutilisation à l’infini.
Infinéo fait rimer innovation avec éducation et sensibilise sur l’usage du plastique PET dans les bouteilles
Infinéo est une co-entreprise entre Plastipak et Coca‑Cola European Partners. L’usine de recyclage produit, grâce à un investissement de 8,7 millions d’euros de Coca‑Cola European Partners, 48 000 tonnes de PET recyclé par an. Un rendement rendu possible par une nouvelle ligne de production inaugurée en 2012.
Infinéo, c’est aussi un espace pédagogique. Un lieu où chaque année, 2000 visiteurs sont accueillis et participent à des ateliers visant à les sensibiliser aux gestes de tri, aux différentes étapes du processus de valorisation et à la « seconde vie » des produits recyclés. Inauguré en 2013, ce centre pédagogique a rencontré un succès immédiat et neuf visiteurs sur dix se disent satisfaits de leur visite.
Le respect de l’environnement constitue une priorité et nous poursuivons activement un programme continu de recherche et de développement en matière de recyclage. Toutes nos bouteilles plastiques PET contiennent du PET recyclé, ainsi que du PET d’origine végétale.
Nous utilisons des matériaux recyclés : intégration de 25 % en moyenne de plastique recyclé dans les bouteilles PET, de 50% de métal recyclé en moyenne pour les canettes et de 35 % de verre recyclé pour les bouteilles en verre.
Nous avons participé à la mise en place de collecteurs de tri sélectifs avec des partenaires comme les parcs de loisirs, les collectivités locales ou les restaurateurs.
Pour toute information complémentaire, nous vous invitons à consulter les articles dédiées ici. De plus, nous considérons les emballages comme de nouvelles ressources : Coca‑Cola est partenaire du Prix du design durable et s'est associé à Emeco pour créer la chaise 111 navy Chair réalisée à partir de bouteilles plastiques recyclées.
Elle correspond à la date de durabilité minimale (DDM), anciennement appelée date limite d'utilisation optimale (DLUO). La mention de la DDM est une obligation légale. C'est une indication garantissant la qualité optimale du produit. Ce n'est pas une date de péremption ou une date limite de consommation. Seulement, après cette date, le produit pourrait ne plus correspondre aux standards de qualité élevée.
Vous êtes un professionnel, vous souhaitez commander, distribuer nos boissons ou obtenir des renseignements sur les services proposés par Coca‑Cola European Partners ? Une équipe spécialisée vous répond du lundi au vendredi de 9h à 17h, voici leurs coordonnées pour les contacter directement:
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La lutte contre l’obésité est l’un des enjeux majeurs de santé publique. C’est un sujet complexe qui exige la mobilisation de tous : les pouvoirs publics, les professionnels de santé, les industriels, aux côtés des consommateurs.
En tant qu’entreprise leader sur le marché des boissons sans alcool, nous avons un rôle à jouer et nous sommes déterminés à le jouer pleinement.
C’est pourquoi, concrètement, nous avons 3 objectifs majeurs :
Plus de choix et moins de sucres
- Offrir un large choix de boissons et de formats, tout en continuant à innover pour réduire la teneur en calories de nos boissons
Plus d’information
- Informer de manière claire et simple, pour aider chacun à faire les bons choix
Etre un acteur responsable
- Communiquer de manière responsable en ne menant aucune action marketing auprès des enfants de moins de 12 ans et ce, en conformité avec les engagements pris par The Coca‑Cola Company dans le cadre du EU Pledge (2007) et de l’Unesda (2006).
Nous sommes convaincus que nous pouvons faire avancer les choses, par le biais de nos initiatives mais également par le dialogue avec l’ensemble des parties prenantes.
1) Plus de choix et moins de sucres
Pétillantes, à base de fruits, sucrées, à teneur réduite en calories ou sans calorie...Ce sont aujourd’hui plus de 60 boissons que nous proposons en France pour répondre aux envies de chacun.
Des progrès constants pour réduire les calories de nos boissons
- Il y a 30 ans, en Europe, nous donnions naissance à Coca‑Cola light, notre première boisson pétillante sans sucres et sans calorie.
- En 2016, nous avons fait évoluer la recette initiale de Coca‑Cola life tout en conservant une nouvelle fois des extraits de stevia* (* glycosides de steviol). Coca‑Cola life contient désormais 40 % de sucres et de calories en moins**(**40 % de calories en moins que la moyenne des colas sucrés, grâce à une réduction de sucres de 40 %, résultant de l’utilisation de l’extrait de stévia).
- En Europe et en France, plus de la moitié de nos boissons sont à teneur réduite en sucres ou sans sucres.
Une participation active à la recherche et à l’innovation
Nous travaillons avec des experts à l’élaboration de nouveaux ingrédients pour nos boissons. C’est le cas notamment de l’extrait de stévia, un édulcorant d’origine naturelle. Cet édulcorant a fait l’objet de 25 années de recherche pour s’assurer de son innocuité mais également de développer de nouvelles recettes moins caloriques mais toujours aussi savoureuses. Nous avons été l’une des premières entreprises à utiliser l’extrait de stévia dans le cadre de la reformulation de notre boisson Sprite par exemple.
Depuis 2010 :
- 48 innovations ont été lancées sur le marché avec moins de sucres, comme Honest ou Fuze Tea.
- Le sucre a baissé dans 16 boissons de notre gamme de boissons, par exemple, Fanta -30%*, Coca‑Cola life -40%*...
*Par rapport aux anciennes recettes de la gamme ou à la plupart des boissons rafraîchissantes sucrées
Notre laboratoire R&D (Recherche & Développement) situé à Bruxelles est également en recherche permanente de nouveaux ingrédients au pouvoir sucrant qui n’ajoutent ni sucres ni calories.
Nous avons deux ambitions majeures :
1. Coca‑Cola en Europe avait pour ambition de réduire le sucre de 10% en moyenne entre 2015 et 2020, et l’objectif a donc été atteint sur cette période.
2. En France, nous souhaitons que 50% de nos ventes soient issues de boissons sans sucres ou à teneur réduite en sucres d’ici 2025.
Un large éventail de formats
Pour offrir toujours plus de choix aux consommateurs, nous proposons plusieurs conditionnements pour nos principales boissons, allant des mini-cannettes individuelles de 15 cl aux bouteilles de 2 litres à partager. En 2014, nous avons en complément lancé un nouveau format : la canette de 25 cl.
2) Etiquetage nutritionnel : un engagement volontaire depuis 2005.
Nous avons été parmi les premiers en France à mettre en place dès 2005 un étiquetage nutritionnel complet, clair et transparent, alors que celui-ci n’était pas encore obligatoire.
Nous mentionnons les valeurs nutritionnelles pour 100 ml de produit, notamment les teneurs en calories et en sucres.
Et, comme le prévoit la réglementation :
- • nous indiquons les valeurs nutritionnelles pour une portion et leurs contributions aux apports de référence*,
- • et ce, à la fois sur la face arrière et sur la face avant des étiquettes, pour que ces informations soient rapidement et facilement accessibles au consommateur.
Pour accompagner au mieux le consommateur dans ses choix. Cet engagement en matière d’étiquetage concerne 100% des étiquettes de nos produits.
*Les apports de référence pour un adulte correspondent aux quantités de calories (8400 KJ/ 2000 Kcal) et de nutriments (protéines, glucides, sucre…) dont la majorité des adultes a besoin pour être en bonne santé.
Depuis 2016, un nouveau symbole indique de manière plus claire le nombre de verres associé à chaque format de boisson.
3) Une communication responsable
Depuis plusieurs années la profession s’est engagée à ne plus faire de publicité envers les enfants de moins de 12 ans à la télévision et sur internet, en respectant l’autorité parentale. Jusqu’en 2012 cet engagement s’appliquait aux chaînes et émissions pour enfants, émissions grand public regroupant une audience de plus de 50% d’enfants.
À partir de 2013, les signataires diminuent encore ce seuil et s’interdisent désormais toute publicité télévisée ou internet dans les émissions où l’audience est constituée de plus de 35% d’enfants de moins de 12 ans.
De plus, The Coca‑Cola Company est l'un des membres fondateurs de l'EU Pledge, une initiative volontaire de grandes entreprises agro-alimentaires visant à modifier la publicité pour les aliments et les boissons destinés aux enfants de moins de 12 ans dans l'Union européenne. L’EU Pledge rassemble 21 entreprises représentant environ 85% des dépenses de marketing alimentaires sur le continent avec l'objectif commun de réduire l'impact sur les enfants de la commercialisation de produits riches en sel, sucres et matières grasses.
En 2018, les taux de conformité aux engagements de l'UE de The Coca‑Cola Company étaient de 96,2% pour la télévision, de 100% pour les médias sociaux et de 100% pour les sites web appartenant à l'entreprise.
L'engagement de l'UE a été renforcé en vue d'accroître la transparence et la responsabilité par le lancement d'un mécanisme grâce auquel les citoyens et les organisations peuvent remettre en question la conformité des communications marketing avec cet engagement.
GÉNÉRALITÉS
1. Quel est l'objectif de cette déclaration ?
Nous comprenons que les gens ont des questions sur notre soutien à la recherche scientifique lié au bien-être, aux partenariats, aux professionnels de la santé et aux experts scientifiques.
Cette déclaration nous permet de partager la liste de nos partenariats en matière de santé et de bien-être. Elle répertorie les professionnels de la santé et les experts scientifiques avec lesquels nous avons travaillé depuis 2010. Bien que nous ayons toujours été transparents sur le financement de la recherche et le soutien que nous apportons aux organisations liées à la nutrition et à la santé, ce site permet de rendre l’information accessible à chacun. Nos pages sont mises à jour tous les ans.
Si vous avez des questions concernant notre démarche de transparence, n’hésitez pas à nous contacter à cette adresse : fr.ciccontact@coca-cola.fr
2. Quels changements ont été apportés au site depuis décembre 2019 ?
Notre investissement total actualisé dans les activités de recherche scientifique et de partenariat entre le 1er janvier 2010 et le 30 septembre 2020 est de 7 856 260€.
Ce financement comprend le soutien apporté par The Coca‑Cola Company, l’une de ses branches ou filiales, ou The Coca‑Cola Foundation à des entités juridiques basées en France ou principalement axées sur la France pour des partenariats et des recherches scientifiques sur la santé et le bien-être du 1er janvier 2010 au 30 septembre 2020.
Depuis notre dernière déclaration publiée en décembre 2019, nous avons investi 28 684€ pour des projets dans le domaine de la santé, du bien-être et du sport. Ce montant a été investi entre le 30 septembre 2019 et le 30 septembre 2020.
3. Quelles mesures supplémentaires The Coca‑Cola Company va-t-elle mettre en place dans sa recherche d'une plus grande transparence sur ses partenariats et ses recherches ?
Cette initiative est une étape supplémentaire dans l’amélioration continue de la communication sur le soutien financier que nous apportons aux recherches scientifiques et aux partenariats relatifs à la santé et au bien-être. La liste de nos partenariats dans ces domaines sera mise à jour et publiée chaque année.
Début 2016, nous avons mis en œuvre une nouvelle série de principes directeurs qui définissent la façon dont notre compagnie soutiendra financièrement la recherche scientifique sur le bien-être et les partenariats. Bien que notre soutien antérieur à la recherche sur la santé et le bien-être ait produit des résultats scientifiquement valides, avec nos principes directeurs, nous souhaitons éviter tout conflit d'intérêt et remise en question des résultats lorsque nous sommes les seuls financeurs de ces recherches.
Cliquez ici pour plus d'informations.
4. Comment les nouveaux principes directeurs s'appliquent-ils au financement de la recherche scientifique sur le bien-être et à l'engagement des tiers ?
Les nouveaux principes directeurs servent de feuille de route pour la recherche scientifique et les partenariats en matière de bien-être. Ils définissent notre engagement et veillent à ce que nos intentions soient suffisamment claires et transparentes. Tous les futurs partenariats liés au bien-être seront évalués en fonction des nouvelles lignes directrices.
5. Pourquoi diffusez-vous ces informations maintenant ?
Nous avons toujours été transparents sur nos soutiens financiers à la recherche scientifique et aux partenariats en matière de santé et de bien-être. Dès 2015, nous avons publié au même endroit la liste de nos partenariats en matière de santé et de bien-être en France et nous nous sommes engagés à publier cette information mise à jour annuellement.
6. De quoi cette liste est-elle composée ?
Nous avons inclus les fonds accordés par The Coca‑Cola Company, l'une de ses filiales, ou par la Fondation Coca‑Cola à des entités juridiques basées en France ou principalement axées sur la France pour des partenariats et des recherches scientifiques sur la santé et le bien-être.
Nous avons exclu les fonds accordés à des entités situées hors de France. Sont également exclus :
• les recherches sur les ingrédients, l'emballage, les produits ou les marques qui ne sont pas liés aux apports alimentaires, à la nutrition et la santé, et à l'activité physique ;
• la recherche et le développement sur les nouveaux ingrédients, l'emballage, les produits ou les marques ;
• les versements à des fournisseurs de services tiers de services médiatiques, publicitaires et logistiques, en soutien aux partenariats santé et bien-être mentionnés ;
• les versements de moins de 500 € sur une base globale annuelle.
Pour consulter en détail ce qui est compris ou non dans cette déclaration, cliquez ici
7. Que voulez-vous dire par « partenariats » ?
Dans le cadre de cette liste, nous utilisons le terme « partenariat » dans un sens informel, en faisant référence à notre relation avec les entités basées en France et ayant reçu des fonds de The Coca‑Cola Company, l'une de ses filiales, ou la Fondation Coca‑Cola afin de soutenir leurs programmes de santé et de bien-être et les activités de communication menées de 2010 à 2020.
8. Que voulez-vous dire par « recherches » ?
La déclaration aborde la question du financement des recherches externes sur l’alimentation, la nutrition, et l'activité physique.
9. Pourquoi y a-t-il encore des éléments de votre liste de divulgation qui ne sont pas conformes aux nouveaux principes directeurs ?
L'application de ces nouvelles lignes directrices dans l'ensemble de notre organisation a commencé en 2016 et se poursuit. Il se peut que certains éléments de cette liste de divulgation soient survenus avant la mise en œuvre de nos principes directeurs. Ces éléments sont présentés, dans le cadre de notre engagement permanent de publication à intervalles réguliers, tous les financements de la recherche scientifique et des partenariats dans le domaine du bien-être du 1er janvier 2010 au 30 septembre 2020, qui répondent à nos critères d'inclusion sur ce site. Ce site Web est mis à jour chaque année.
QUESTIONS GÉNÉRALES SUR LA RECHERCHE ET LA TRANSPARENCE
10. The Coca‑Cola Company mène-t-elle des recherches sur la nutrition et l’activité physique ?
Nos partenariats et notre soutien passé à la recherche scientifique sur la nutrition et l’activité physique a produit des résultats scientifiquement valables, cependant nous avons identifié une opportunité afin d’éviter certaines des questions qui se posent lorsque nous sommes le seul financeur de ses recherches.
Début 2016, nous avons commencé à mettre en œuvre un ensemble de nouveaux principes directeurs qui définissent la façon dont notre compagnie fournira un soutien financier pour la recherche scientifique sur la nutrition et l’activité physique mais aussi les partenariats. Cliquez ici pour plus d'informations.
11. Pourquoi The Coca‑Cola Company finance-t-elle la recherche ?
Nous pensons que soutenir la recherche est important dans le fonctionnement de toute entreprise responsable. En tant qu’entreprise leader sur le marché des boissons sans alcool, nous croyons qu'il est impératif de soutenir la recherche scientifique en cours concernant nos boissons, nos ingrédients et les recherches liées à la santé. Cependant, nous évoluons dans notre approche de financement de la recherche scientifique sur la nutrition et l’activité physique ainsi que les partenariats. Début 2016, nous avons commencé à mettre en œuvre une série de nouveaux principes directeurs qui définissent la façon dont notre société fournira un soutien financier à la recherche scientifique sur le bien-être et aux partenariats. En vertu de ces nouvelles lignes directrices, l'entreprise ne fournira pas, directement ou par l'intermédiaire d'une tierce partie (telle qu'une association professionnelle), la totalité du financement de la recherche scientifique sur le bien-être et la santé. Nous accorderons plutôt un soutien financier à de telles recherches que si une autre entité que Coca‑Cola finance au moins 50% des coûts.
Pour plus d'informations veuillez consulter la page des principes directeurs.
12. Qu'est-ce que la Fondation Coca‑Cola et quelle est la différence avec The Coca‑Cola Company ?
La Fondation Coca‑Cola est le bras philanthropique mondial de The Coca‑Cola Company. Elle a été créée aux États-Unis en 1984 sous la forme d'une organisation caritative. The Coca‑Cola Company s'engage à redistribuer chaque année 1 pour cent de son résultat d'exploitation de l'année précédente ; elle le fait en grande partie via la Fondation Coca‑Cola.
Pour obtenir davantage d'informations sur la Fondation Coca‑Cola, veuillez cliquer ici.
13. Face à la publication de vos programmes de financement, comment pouvons-nous être certains que la liste est complète ?
Nous avons essayé, en toute bonne foi, de déclarer tous les financements qui répondent aux critères d'inclusion. Si nous avons oublié un élément qui répond à ces critères, nous l'ajouterons dans une mise à jour ultérieure que nous prévoyons de publier une fois par an.
14. Pourquoi Coca‑Cola finance des organisations dans le domaine de la nutrition et de l’activité physique ?
Nous travaillons avec des experts individuels et des organisations pour pouvoir apprendre à leurs côtés en nous appuyant sur leur expérience à la fois vaste et indépendante. De cette façon, ils peuvent nous fournir des informations clés concernant nos produits et nos ingrédients. Cela nous permet de renforcer nos connaissances, d'améliorer nos actions et d'offrir davantage de choix aux consommateurs.
Début 2016, nous avons commencé à mettre en œuvre une nouvelle série de principes directeurs qui définissent la façon dont notre société fournira un soutien financier à la recherche scientifique sur le bien-être et aux partenariats. Cliquez ici pour plus d'informations.
13. Attendez-vous des organisations qui reçoivent un appui financier de la part de Coca‑Cola qu'elles soutiennent vos produits ?
Non. Nous travaillons avec des experts et des organisations indépendants pour les écouter et apprendre de leur expertise. Ceci nous guide dans nos actions au quotidien.
En tant qu’entreprise citoyenne responsable, nous tenons à rester un partenaire crédible et performant. Fin 2015, nous nous sommes engagés à communiquer l’ensemble des financements que nous accordions à des partenariats et à des programmes de recherche scientifique sur le bien-être, avec effet rétroactif en 2010. Nous nous sommes ainsi engagés à mettre à jour cette liste chaque année en France. Il s'agit de la 6ème publication de cette déclaration. Si vous consultez régulièrement notre site Internet, vous aurez peut-être constaté que le nombre d’éléments figurant sur cette liste se réduit à chaque période de mise à jour. Cette diminution est liée en partie à l’application des nouveaux principes directeurs que notre entreprise a adoptés afin de rendre compte des modalités de notre soutien financier à la recherche scientifique sur le bien-être.
Nous avons commencé à appliquer ces directives en février 2016 afin de définir plus précisément notre engagement sur ces questions. Le déploiement de ces nouvelles directives au sein de notre organisation est en cours.
Voici quels en sont les principes généraux :
Recherche scientifique sur le bien-être et engagement de tiers
The Coca‑Cola Company (y compris ses Fondations et les entreprises d’embouteillage de Coca‑Cola) n’accordera pas la totalité du financement d’un programme de recherche scientifique sur le bien-être, que ce soit directement ou par l’intermédiaire d’un tiers (notamment un syndicat professionnel). Elle pourra en revanche apporter son soutien financier à de tels programmes de recherche dans la mesure où une entité ne faisant pas partie de Coca‑Cola prend en charge au moins 50 % des frais de recherche. The Coca‑Cola Company ne versera pas non plus à un tiers une quelconque indemnité ou rémunération incitative, ni ne remboursera ses frais de déplacement, en vue de sensibiliser plus largement à un programme de recherche scientifique sur le bien-être. De plus, elle ne constituera pas la seule source de financement pour des programmes destinés à la communauté des professionnels de santé.
The Coca‑Cola Company annulera le financement de toutes les plateformes de santé ou de bien-être qui appartiennent à l’entreprise ou portent sa marque. Elle annulera et suspendra également son soutien au Beverage Institute of Health & Wellness, ainsi qu’aux programmes de promotion d’une vie saine et active (Active Healthy Living) partout dans le monde.
Étiquetage nutritionnel et informations nutritionnelles
Lorsqu’il n’existe aucune réglementation, les informations nutritionnelles sont fournies conformément aux Directives sur l’étiquetage nutritionnel du Codex Alimentarius (CAC/GL 2-1985).
Coca‑Cola fournit des informations nutritionnelles sur ses emballages conformément aux exigences réglementaires nationales. De plus, nos emballages fournissent des informations sur les calories (exprimées en kilocalories ou kilojoules), à l’exception des eaux en bouteille plates ou pétillantes non aromatisées et sans sucres, y compris l’eau minérale.
La quasi-totalité des pays fournissent une information nutritionnelle (kcalories) sur les emballages de nos boissons, conformément à nos exigences mondiales sur l’étiquetage nutritionnel en place depuis 2016.
En l’absence d’étiquetage nutritionnel sur l’emballage, celui-ci doit être fourni par d’autres moyens, notamment une information postée sur le site Internet de The Coca‑Cola Company.
Notre soutien aux activités dans les domaines de la nutrition et de l’activité physique
Voici la liste des différents projets soutenus par Coca‑Cola dans les domaines de la nutrition et de l’activité physique.
Nom du projet | Type | Organisme | Montant | Date |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | AIM Group International | 14 615 € | 2010 |
Participation aux activités scientifiques et de communication | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 16 800 € | 2010 |
Mécénat pour un programme sur l'alimentation au sein des épiceries solidaires* | Partenariat | Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires | 157 456 € | 2010 |
Participation au programme court "Trop la pêche" | Partenariat | Association Nationale des Industries Alimentaires | 15 000 € | 2010 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 22 450 € | 2010 |
Communication grand public en nutrition | Partenariat | DS Conseil | 30 000 € | 2010 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 85 300 € | 2010 |
Participation aux Journées Nationales de Médecine Générale | Partenariat | GM Santé | 29 612 € | 2010 |
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit | Partenariat | Groupe Monteur | 26 062 € | 2010 |
Intervention aux Entretiens de Bichat | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 2 000 € | 2010 |
Participation aux entretiens de Bichat | Partenariat | Les Entretiens Médicaux | 18 000 € | 2010 |
Interventions en Nutrition | Partenariat | Nutritionnellement | 10 000 € | 2010 |
Réalisation de vidéos sur les boissons light diffusées sur le site Santélog | Partenariat | Santélog | 14 000 € | 2010 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport | 12 600 € | 2010 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 45 088 € | 2010 |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | AIM Group International | 6 578 € | 2011 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Association des Médecins de Club de Football Professionel | 5 000 € | 2011 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Association des Médecins de Montagne organisation | 7 000 € | 2011 |
Participation aux activités scientifiques et de communication | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 20 250 € | 2011 |
Analyse des consommations de boissons à partir de l'étude CCAF 2010 | Recherche | Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie | 43 500 € | 2011 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 12 600 € | 2011 |
Communication grand public en nutrition | Partenariat | DS Conseil | 33 000 € | 2011 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 35 300 € | 2011 |
Participation aux Journées Nationales de Médecine Générale | Partenariat | GM Santé | 27 830 € | 2011 |
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit | Partenariat | Groupe Monteur | 26 990 € | 2011 |
Participation à un congrès scientifique | Partenariat | Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance | 6 097 € | 2011 |
Intervention au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 2 000 € | 2011 |
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 3 500 € | 2011 |
Participation aux Entretiens de Bichat pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Partenariat | Les Entretiens Médicaux | 35 400 € | 2011 |
Interventions en Nutrition | Partenariat | Nutritionnellement | 7 800 € | 2011 |
Participation au Nutri-débat | Partenariat | Nutritionnellement | 5 000 € | 2011 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport | 9 000 € | 2011 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 56 888 € | 2011 |
Réalisation de chroniques radios pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Partenariat | Agence TamTam | 36 800 € | 2012 |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | AIM Group International | 1 794 € | 2012 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Association des Médecins de Club de Football Professionel | 5 000 € | 2012 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Association des Médecins de Montagne organisation | 10 000 € | 2012 |
Participation aux activités scientifiques et de communication | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 27 642 € | 2012 |
Mécénat pour un programme sur l'alimentation au sein des épiceries solidaires* | Partenariat | Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires | 155 054 € | 2012 |
Analyse des consommations de boissons à partir de l'étude CCAF 2010 | Recherche | Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie | 1 500 € | 2012 |
Analyse des consommations de boissons à partir de l'étude CCAF 2010 pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Recherche | Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie | 40 000 € | 2012 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 12 600 € | 2012 |
Communication grand public en nutrition | Partenariat | DS Conseil | 23 100 € | 2012 |
Mécénat pour un programme de formation de patients experts sur un mode de vie actif et équilibré* | Partenariat | Fédération Française des Diabétiques | 232 582 € | 2012 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 50 000 € | 2012 |
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit | Partenariat | Groupe Monteur | 27 609 € | 2012 |
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 3 500 € | 2012 |
Participation aux Entretiens de Bichat pour l'Association Internationale pour les Edulcorants | Partenariat | Les Entretiens Médicaux | 22 000 € | 2012 |
Interventions en Nutrition | Partenariat | Nutritionnellement | 33 878 € | 2012 |
Participation au Nutri-débat | Partenariat | Nutritionnellement | 5 000 € | 2012 |
Participation au Congrès de Médecine Générale de France | Partenariat | Overcome | 21 500 € | 2012 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport | 9 750 € | 2012 |
Réalisation d'une communication sur l'hydratation pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Partenariat | System media | 45 360 € | 2012 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 57 120 € | 2012 |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | AIM Group International | 4 186 € | 2013 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Association des Médecins de Club de Football Professionel | 5 000 € | 2013 |
Participation aux activités scientifiques et de communication | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 15 617 € | 2013 |
Participation au programme court "Trop la pêche" | Partenariat | Association Nationale des Industries Alimentaires | 7 500 € | 2013 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 25 600 € | 2013 |
Communication grand public en nutrition | Partenariat | DS Conseil | 46 200 € | 2013 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 50 000 € | 2013 |
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit | Partenariat | Groupe Monteur | 28 347 € | 2013 |
Communications scientifiques sur les consommations de boissons en France pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 2 700 € | 2013 |
Soutien de la participation de l'Institut Européen de l'Hydratation aux Entretiens de Bichat | Partenariat | Les Entretiens Médicaux | 28 000 € | 2013 |
Interventions en Nutrition | Partenariat | Nutritionnellement | 23 450 € | 2013 |
Participation au Nutri-débat | Partenariat | Nutritionnellement | 5 000 € | 2013 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport | 15 500 € | 2013 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 57 244 € | 2013 |
Mécénat pour le projet Booster* | Partenariat | Unis-Cités | 195 733 € | 2013 |
Mécénat pour le développement d'un programme de promotion d'un mode de vie sain et actif auprès d'étudiants* | Partenariat | Université de Poitiers | 228 104 € | 2013 |
Réalisation de chroniques radios pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Partenariat | Agence TamTam | 19 000 € | 2014 |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | AIM Group International | 12 407 € | 2014 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Association des Médecins de Club de Football Professionel | 5 000 € | 2014 |
Participation aux activités scientifiques et de communication | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 10 700 € | 2014 |
Mécénat pour le projet Sport, Santé Bien-être* | Partenariat | Centre National pour le Développement du Sport | 508 617 € | 2014 |
Participation au congrès annuel (conférence sur l'hydratation) | Partenariat | Club des Cardiologues du Sport | 6 000 € | 2014 |
Partenariat annuel | Partenariat | Comité National Olympique et Sportif Français | 150 000 € | 2014 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 25 600 € | 2014 |
Communication grand public en nutrition | Partenariat | DS Conseil | 24 000 € | 2014 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 50 000 € | 2014 |
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit | Partenariat | Groupe Monteur | 30 337 € | 2014 |
Communications scientifiques sur les consommations de boissons en France pour l'Institut Européen de l'Hydratation | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 11 300 € | 2014 |
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 4 000 € | 2014 |
Partenariat annuel avec la marque Powerade | Partenariat | Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport | 12 000 € | 2014 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 57 512 € | 2014 |
Mécénat pour le projet Booster* | Partenariat | Unis-Cités | 179 512 € | 2014 |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | AIM Group International | 15 393 € | 2015 |
Participation aux activités scientifiques et de communication | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 26 755 € | 2015 |
Mécénat pour le projet Sport, Santé Bien-être* | Partenariat | Centre National pour le Développement du Sport | 610 309 € | 2015 |
Partenariat annuel | Partenariat | Comité National Olympique et Sportif Français | 150 000 € | 2015 |
Projet de recherche sur les édulcorants intenses | Recherche | CreaBIO | 279 798,67 € | 2015 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 25 600 € | 2015 |
Communication grand public en nutrition | Partenariat | DS Conseil | 36 000 € | 2015 |
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit | Partenariat | Groupe Monteur | 17 281 € | 2015 |
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille | Partenariat | Institut Pasteur de Lille | 4 500 € | 2015 |
Participation au colloque Alimentation et Bien être | Partenariat | Institut Polytechnique LaSalle Beauvais | 10 200 € | 2015 |
Interventions en Nutrition | Partenariat | Nutritionnellement | 13 200 € | 2015 |
Participation au Nutri-débat | Partenariat | Nutritionnellement | 6 000 € | 2015 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 57 316 € | 2015 |
Mécénat pour le projet Booster* | Partenariat | Unis-Cités | 233 353 € | 2015 |
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 5 850,00 € | 2016 |
Participation au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 12 600,00 € | 2016 |
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport | Partenariat | Eventime Group | 6 419,00 € | 2016 |
Expérimentation Etiquetage Nutritionnel | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 80 000,00 € | 2016 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fond Français pour l'Alimentation et la Santé | 70 000,00 € | 2016 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 27 742,00 € | 2016 |
Mécénat pour le projet Booster* | Partenariat | Unis-Cités | 235 290,00 € | 2016 |
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | Partenariat | Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | 5 958.00€ | 2017 |
Insertion mallette au congrès Diétecom | Partenariat | Dietecom | 4 000,00 € | 2017 |
Interventions en Nutrition | Partenariat | Nutritionnellement | 10 280,00 € | 2017 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 27 742,00 € | 2017 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 31 220 € | 2018 |
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionistes | Partenariat | Association Française de Diététiciens Nutritionistes | 5 850 € | 2018 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Fonds Français pour l'Alimentation et la Santé | 75 000 € | 2018 |
Projet de recherche sur les édulcorants intenses | Recherche | Institute for European Expertise in Physiology (IEEP) | 719 200 € | 2010-2014 |
Projet de recherche sur la consommation de sucres | Recherche | International Prevention Research Institute (IPRI) | 690 000 € | 2013-2014 |
Projet de recherche sur les édulcorants intenses | Recherche | CreaBIO | 653 798,33 € | 2014-2015 |
Partenariat pour deux ans avec la marque Powerade | Partenariat | Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport | 24 000 € | 2015-2016 |
Création d'un terrain multisports dans le cadre du Move My City Challenge (Lille) | Partenariat | Fédération Française de Football | 182 000 € | 2016-2018 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | 29 700€ | 2019 |
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes | Partenariat | Association Française de Diététiciens Nutritionnistes | 6 030€ | 2019 |
Etude sur les minéraux au sein de la population française | Recherche | Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie | 3 000€ | 2019 |
Cotisation annuelle | Partenariat | Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits | €28 684 | 2020 |
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| €7 856 260,00 | ci |
* Indique le financement de la Fondation Coca‑Cola.
Nous avons essayé, en toute bonne foi de contacter et d’obtenir l’accord de toutes les organisations avec lesquelles nous avons travaillé. Certaines des organisations avec lesquelles nous avons travaillé n’ont pas souhaité que soit communiqué le montant des financements que nous leur avons apporté. Le financement total de ces organisations est de 55 000 €
Nous travaillons également avec des organisations qui ne sont pas basées en France, comme par exemple l’Association Internationale pour les Edulcorants (ISA). Pour plus d’informations, n'hésitez pas à consulter le site internet.
Conformément aux règles déontologiques en matière de recherche scientifique, nous veillons à ce que les critères suivants soient appliqués aux recherches que nous soutenons financièrement. Les chercheurs :
- doivent mener des recherches factuelles, transparentes, de façon objective ;
- doivent générer une hypothèse formulée de façon appropriée et mener des recherches répondant à des questions pertinentes, avoir une maîtrise totale de la conception et de la réalisation de l'étude, et du recueil, de l'analyse et de l'interprétation des données ;
- sont encouragés à publier ; et
- doivent révéler leurs sources de financement dans toutes les publications et présentations publiques des données.
Dans cette liste, les partenariats et les activités de recherche comprennent :
1. Les soutiens financiers apportés par The Coca‑Cola Company, ses filiales, ou la Fondation Coca‑Cola aux organisations basées en France et principalement centrées sur la France, pour des recherches sur l’alimentation, la nutrition et la santé, ou l'activité physique
2. Les soutiens financiers apportés par The Coca‑Cola Company, ses filiales, ou la Fondation Coca‑Cola aux organisations basées en France pour des programmes de santé et de nutrition ou de bien-être et des activités de communication en France.
Dans cette liste, les partenariats et les recherches ne comprennent pas :
1. Les fonds accordés par The Coca‑Cola Company, ses filiales ou la Fondation Coca‑Cola aux entités situées hors de France.
2. Les fonds accordés exclusivement par nos partenaires embouteilleurs de The Coca‑Cola Company (les activités à financement mixte seront énumérées en excluant la partie du budget financée par les partenaires embouteilleurs de The Coca‑Cola Company).
3. Les recherches sur les nouveaux ingrédients, l'emballage, les produits ou les marques.
4. Les recherches sur les ingrédients, les emballages, les produits ou les marques qui ne sont pas liés à l’alimentation, à la nutrition et à l’activité physique.
5. Les versements à destination de fournisseurs de services tiers pour les services médiatiques, publicitaires et logistiques, en soutien aux partenariats pour les programmes de santé et de bien-être et les activités de communication mentionnés.
6. Les versements de moins de 500 euros sur une base globale annuelle.
Nous utilisons le terme « partenariat » dans un sens informel, en faisant référence à notre relation avec les entités basées en France et ayant reçu des fonds de The Coca‑Cola Company, de ses filiales ou la Fondation Coca‑Cola afin de soutenir leurs programmes dans les domaines de la nutrition et de l’activité physique et les activités de communication menées de 2010 à 2020
Période : du 1er janvier 2010 au 30 septembre 2020
Devise : tos les montants sont présentés en euros hors TVA. Quand des financements ont été alloués avec d’autres devises que l’Euro, nous avons utilisé un taux de conversion moyen annuel correspondant à l’année de paiement.
La présente liste sera susceptible d’être mise à jour ultérieurement, à l’occasion de mises à jour que nous prévoyons de publier une fois par an.
Les produits de notre gamme de boissons light et sans sucres sont sans sucres, sans calorie.
Nous recommandons à toute personne s’interrogeant sur le diabète de prendre contact avec son médecin.
Le fructose contenu dans les fruits est-il différent du sucre que nous mettons dans notre café ? Pas en soi. Il y a néanmoins parfois une confusion entre les deux. Pourquoi ? Et à quoi faut-il faire attention pour interpréter correctement la description sur, par exemple, les boissons rafraîchissantes ?
En soi, le nom révèle la principale différence entre les sucres naturels et leur variante ajoutée : l’origine. Les premiers se retrouvent naturellement dans un produit alimentaire ; les seconds sont ajoutés à la préparation par le producteur ou le consommateur. Mais après avoir mangé ou bu ces deux types de sucres, il se produit la même chose dans votre corps : il les transforme en glucose.
Sucres naturels
Les sucres sont naturellement présents dans les produits alimentaires tels que le lait, le miel ou les fruits. Des exemples connus sont le fructose (dans les fruits) et le lactose (dans le lait). Il peut exister des différences entre ces différents types lors de l’absorption par l’organisme (via le système digestif ou les intestins), mais notre corps fait exactement la même chose avec chaque type de sucre. Quel que soit le type de sucre, notre corps le transforme toujours en glucose, qui sert ensuite de source d’énergie.
Sucres ajoutés
Le sucre qu’un producteur ajoute lors de la fabrication de biscuits, de yaourts ou de boissons rafraîchissantes, par exemple, est appelé sucre « ajouté ». Les sucres que vous, en tant que consommateur, ajoutez vous-même aux boissons ou aux préparations entrent également dans cette catégorie.
Autant de calories
Les sucres naturels et ajoutés fournissent exactement la même quantité d’énergie à votre corps : 4 kcal par gramme pour être exact. C’est justement pour cette raison que vous trouvez la teneur totale en sucre (sucres naturels et sucres ajoutés) sur un emballage.
« Sans sucres ajoutés » ne signifie pas « sans sucre »
On peut parfois lire sur un emballage : « sans sucres ajoutés ». Cela ne signifie pas que le produit ne contient pas de sucre, mais que le producteur n’y a – littéralement – pas ajouté de sucre. Dans ce cas, il est possible que des sucres soient naturellement présents dans le produit. Mais la législation européenne stipule qu’il est obligatoire de le mentionner explicitement aussi dans ce cas de la manière suivante : « Contient des sucres d’origine naturelle (fruits et/ou lait) ».
Qu’entend-on alors par « sans sucre » ?
Si le produit ne contient ni sucres naturels ni sucres ajoutés, cela apparaît également sur l’emballage. Toutefois, l’allégation « sans sucre » ne signifie pas littéralement « 0 gramme » de sucre. Cette mention peut être utilisée si le produit contient au maximum 0,5 g de sucre pour 100 g (ou ml).
Entre Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres (autrefois appelé Coca‑Cola zero sucres), la confusion peut régner… Si ces deux boissons rafraîchissantes ont pour point commun de pouvoir déguster un Coca‑Cola sans la moindre calorie, elles n’ont cependant ni le même goût… ni la même histoire.
Coca‑Cola light et Coca‑Cola sans sucres : les différences de calories
Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres (anciennement commercialisé sous le nom de Coca‑Cola zero sucres) sont fabriqués en utilisant les mêmes édulcorants (aspartame et acésulfame-K). Ils sont donc tous deux sans sucres ni calories, mais ne perdent rien de leur délicieux goût de Coca‑Cola.
Coca‑Cola light et Coca‑Cola sans sucres : la différence de goût
C’est pourtant en matière de goût que ces deux boissons diffèrent légèrement. Coca‑Cola sans sucres possède davantage le goût et l’apparence du Coca‑Cola goût original, alors qu’il est vraiment sans sucre, tandis que le goût de Coca‑Cola light taste est plus léger grâce à un mélange d’arômes innovant.
Coca‑Cola light et Coca‑Cola sans sucres : un packaging pour chacun
Nous avons coutume de dire qu’il existe un Coca‑Cola pour tout le monde. Et, à l’image de toutes nos boissons, Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres se déclinent en différents formats et contenances, de la canette slim 250 ml « nomade » pour boire en déplacement, à la bouteille de 1,75l à partager avec vos amis et votre famille. Quelle que soit la raison pour laquelle vous dégustez un Coca‑Cola, l'absence de sucres ne doit pas rimer avec l'absence de choix.
L'histoire du Coca‑Cola light et du Coca‑Cola sans sucres
Coca‑Cola light taste : son histoire
Coca‑Cola light taste existe depuis 1982 aux États-Unis. Il s’agit de notre premier Coca‑Cola sans sucres. Arrivée en France en 1988, cette toute nouvelle version du Coca‑Cola sans calories est immédiatement adoptée et devient l’une des boissons les plus populaires auprès d’une base de fans extrêmement fidèles. Un succès qui doit beaucoup à sa recette inédite puisque Coca‑Cola light taste compte parmi ses ingrédients un mélange unique d'extraits végétaux et d'eau pétillante avec édulcorants.
Depuis, son célèbre packaging rouge et argent est devenu aussi emblématique que Coca‑Cola goût Original. Des spots TV sulfureux de « la pause Coca‑Cola light taste » jusqu’aux collaborations avec des créateurs de mode tels que Jean-Paul Gaultier et Marc Jacobs pour la confection de bouteilles et de canettes en édition limitée, il est devenu au fil des années un véritable phénomène culturel.
Coca‑Cola sans sucres : son histoire
Coca‑Cola sans sucres s'impose lui aussi comme une alternative sans calorie au Coca‑Cola goût Original. Initialement connu sous l’appellation Coca‑Cola zero sucres et avec un goût quasiment identique au Coca‑Cola Original taste, Coca‑Cola sans sucres, qui fait entrer dans sa composition des extraits végétaux ainsi que des édulcorants. La différence entre Coca‑Cola sans sucres et Coca‑Cola light taste repose principalement sur leurs saveurs différentes. Aussi, le goût spécifique et plus léger du Coca‑Cola light taste séduit généralement un public féminin, tandis que le Coca‑Cola sans sucres a su conquérir un public plus jeune et plus masculin grâce à son goût authentique mais également au design noir et rouge de ses bouteilles et canettes.
Coca‑Cola original taste : Eau gazéifiée ; sucre ; colorant : caramel (E 150d) ; acidifiant : acide phosphorique ; arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine.
Coca‑Cola sans sucres : Eau gazéifiée ; colorant : E150d ; acidifiants : acide phosphorique, citrate de sodium ; édulcorants : aspartame, acésulfame-K ; arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine. Contient une source de phénylalanine.
Oui, toute la gamme de Coca‑Cola sans sucres ne contient aucune calorie. La seule différence avec Coca‑Cola light taste, c'est le goût. Non, il n'y a pas de calorie dedans non plus !
De façon globale, The Coca‑Cola Company s'engage à faire évoluer ses boissons à teneur réduite en calories ou sans sucres pour s'adapter à chaque envie et à tous les besoins. D’ici 2025, 50 % des ventes proviendront des boissons hypocaloriques ou sans sucres.
Coca‑Cola, c’est avant tout 89% d’eau, des extraits végétaux et du sucre. En France, ce dernier - également connu sous le nom de sucre de table ou encore saccharose, est issu de la betterave, comme celui que vous utilisez dans votre thé ou votre café. Il est l’ingrédient qui donne au Coca‑Cola son goût unique et délicieux.
Les scientifiques l’appellent beta vulgaris et les gastronomes betterave. Cette plante herbacée bisannuelle, décrite pour la première fois par le naturaliste Linné en 1753, possède une racine épaisse dont la pulpe concentre les sucres à hauteur de 15 à 20%, selon les espèces. A l’issue du processus de production, ce saccharose prend la forme de carrés, poudre, morceaux ou est utilisé par l’industrie agroalimentaire, pour sucrer aliments et boissons. Coca‑Cola goût Original contient 10,6g de sucre pour 100ml.
La « Blanche de Silésie »
La betterave sucrière a été introduite en France à la fin du XVIIIe siècle. Nommée « Blanche de Silésie », elle se caractérisait à l’époque par sa teneur en saccharose (7%) et sa capacité à s’adapter aux climats tempérés – contrairement à la canne à sucre !
En conséquence, c’est dans le bassin parisien, le nord et l’est du pays que la betterave est la plus fréquemment cultivée : 90% des plantations hexagonales se situent ainsi au sud de la Loire.
Récolte et production : une course contre la montre
La betterave à sucre se récolte fin septembre, par arrachage des racines. La collecte des plantes doit être terminée avant l’arrivée des grands froids, et la racine traitée rapidement après avoir été extraite du sol, car sa teneur en sucre décroît rapidement.
Cette bataille contre le temps explique pourquoi, à l’automne, les sucreries – toujours construites à moins de 30 kilomètres des champs de betteraves - fonctionnent jour et nuit !
La France premier producteur mondial
La France est bien placée dans la production de sucre issu de la betterave : elle en est le premier producteur au monde. Pour la culture de la plante en elle-même, l’Hexagone se place au deuxième rang mondial, derrière le Brésil*.
La betterave sucrière a un rendement moyen de 60 à 90 tonnes par hectare. Ceci correspond à environ 13 tonnes de sucre par hectare de betterave cultivé.
* chiffres 2013, issus du rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture
Coca‑Cola ne contient aucun des allergènes listés à l’annexe II du règlement 1169/2011/CE concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires. Nos produits respectent la réglementation française en vigueur. Si un produit contient l’un des 14 allergènes majeurs ci-dessous, sa présence est mentionnée sur l’étiquette. Les 14 allergènes majeurs sont :
- Céréales contenant du gluten (à savoir blé, seigle, orge, avoine, épeautre, kamut ou leurs souches hybridées) et produits à base de ces céréales
- Crustacés et produits à base de crustacés
- Œufs et produits à base d’œufs
- Poissons et produits à base de poissons
- Arachides et produits à base d’arachides
- Soja et produits à base de soja
- Lait et produits à base de lait (y compris le lactose).
- Fruits à coque
- Céleri et produits à base de céleri
- Moutarde et produits à base de moutarde
- Graines de sésame et produits à base de graines de sésame
- Anhydride sulfureux et sulfites en concentrations supérieures à 10 mg/kg ou 10 mg/litre exprimées en dioxyde de soufre (SO2).
- Lupin et produits à base de lupin
- Mollusques et produits à base de mollusques
La boisson Coca‑Cola ne possède aucune propriété thérapeutique reconnue. Il s'agit d'une boisson pétillante appréciée de nombreux consommateurs pour son goût et ses qualités rafraîchissantes.
Non, Coca‑Cola ne contient pas de cocaïne ni tout autre substance nocive. De plus, cette substance n’a jamais été un ingrédient ajouté à Coca‑Cola.
Toutes nos boissons sont sans alcool. Les ingrédients et les procédures industrielles utilisées dans la fabrication de nos produits font l’objet de contrôles rigoureux par le gouvernement et les autorités sanitaires dans chaque pays où nos produits sont commercialisés. Nos boissons sont reconnues comme boissons non alcoolisées par les autorités gouvernementales de chaque pays.
Toutes les valeurs nutritionnelles de nos produits sont présentes sur nos emballages et donnent au consommateur des informations claires et intelligibles sur les calories contenues dans nos boissons et leurs contributions aux apports de référence. Un verre de 250 ml de Coca‑Cola correspond à 29 % des apports de référence en sucre pour un adulte-type (8 400 kJ/2 000 kcal).
Pour réduire le sucre de nos boissons, nous utilisons parmi les édulcorants suivants : l’aspartame (E 951), l’acésulfame-K (E 950), le sucralose (E 955) et les glycosides de stéviol (E960).
The Coca‑Cola Company a été l’une des premières à utiliser les glycosides de stéviol (E960), issu de la plante stévia, dans les recettes de FÏNLEY, Sprite et Fuze Tea. Associé au sucre l’extrait de stévia, d'origine naturelle, permet de proposer des boissons moins sucrées et aux goûts différents, suivant les attentes des consommateurs.
The Coca‑Cola Company réalisera 50% de ses ventes en 2025 avec des boissons sans sucres ou allégées en sucres et réduira le sucre de son portefeuille de produits d’au moins 10% entre 2015 et 2020.
L’aspartame est un édulcorant utilisé à la place du sucre dans de nombreux aliments ou boissons, dont le pouvoir sucrant est 200 fois supérieur à celui du saccharose, l'autre nom du "sucre de table". Nous utilisons de l’aspartame dans certains de nos produits afin de proposer des boissons sans sucres et sans calorie.
Autorisé en France en 1988, cet édulcorant a été soumis à plus de 200 études scientifiques, et son innocuité a été confirmée par des autorités mondialement reconnues, telles que le Comité mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA) et également par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) dans son dernier avis de décembre 2013.
L'aspartame en tant qu'édulcorant peut être consommé par tous, y compris les enfants et les femmes enceintes. La seule contre-indication à la consommation d’aspartame est la phénylcétonurie : une maladie génétique rare systématiquement détectée à la naissance.
Pour atteindre la dose journalière admissible (DJA) d’aspartame (40 mg par kg de poids corporel et par jour), l’Association internationale des édulcorants a calculé qu'une femme de 60 Kg devrait en théorie consommer, chaque jour de sa vie, 280 sucrettes ou 20 canettes de boissons light.
Un verre de Coca‑Cola original taste de 250 ml contient 105 calories (kcal) et un verre de 250 ml de Coca‑Cola original taste sans caféine 110 calories (kcal). Concernant Coca‑Cola zero sucres, un verre (250 ml) contient 1 calorie (kcal) ; il en va de même pour un verre de Coca‑Cola zero sucres sans caféine ou Coca‑Cola light taste sans caféine. Conformément à la législation en vigueur, un aliment ou une boisson apportant moins de 4 kcal pour 100 ml est considéré comme sans calorie.
Les informations nutritionnelles et énergétiques figurent sur le recto et le verso de chaque emballage. De plus, il est également possible de consulter, sur notre site Internet, les informations nutritionnelles pour 100 ml relatives à chacun des produits de The Coca‑Cola Company commercialisés en France.
Afin de s’adapter aux goûts, aux habitudes alimentaires quotidiennes et aux styles de vie des consommateurs, The Coca‑Cola Company a engagé un effort considérable en matière d’innovation afin de proposer au marché de nouvelles marques présentant des identités différentes. Elles permettent d’élargir notre gamme et de proposer plus de choix aux consommateurs avec des boissons sans sucres ou à teneur réduite en sucres.
Nous réaliserons 50% de nos ventes en 2025 avec des boissons sans sucres ou allégées en sucres, réduirons le sucre dans notre portefeuille de produits d’au moins 10% entre 2015 et 2020 et enfin aiderons les consommateurs à réduire leur consommation de sucre grâce à des informations accessibles sur nos produits et en proposant des formats plus petits.
Un édulcorant est une substance qui procure une saveur douce, et qui permet généralement de remplacer les sucres. Les édulcorants, ou alternatives au sucre, permettent de réduire, de façon simple, le nombre de calories de notre alimentation sans affecter le plaisir issu de la consommation d’aliments et de boissons sucrés. Ainsi, ils peuvent constituer une aide utile à la gestion des calories, dans le cadre d’une alimentation équilibrée.
Appartenant à la famille des additifs, les édulcorants sont utilisés depuis de nombreuses années dans les produits alimentaires à faible teneur en calories. Certains édulcorants ont un pouvoir sucrant 30 à 600 fois supérieur au sucre, c’est la raison pour laquelle ils sont utilisés en très petite quantité. Dans le cas des boissons « light » ou « zero », le remplacement par des alternatives au sucre permet de faire une économie énergétique proche de 100%.
La plupart des édulcorants se fabrique par processus chimique, en laboratoire. Les glycosides de stéviol (E960) utilisées dans certaines boissons comme Fuze ou encore Fïnley sont extraits de la plante stévia rebaudiana.
Dans nos boissons, nous choisissons parmi les édulcorants intenses suivants :
- L’aspartame (pouvoir sucrant : 200)
- L’acésulfame K (pouvoir sucrant : 200)
- Le sucralose (pouvoir sucrant : 600)
- Les glycosides de stéviol (pouvoir sucrant : 200)
- La néohéspéridine DC (pouvoir sucrant entre 400 et 600)
L’utilisation de ces alternatives au sucre nous permet d’élargir notre gamme de boissons à teneurs réduites en sucres et sans sucres. En effet, entre 2010 et 2016, nous avons fait évoluer 13 de nos recettes afin de réduire leurs teneurs en sucres.
Tous les édulcorants intenses sont soumis à une dose journalière admissible (DJA) qui a été définie par certaines institutions officielles et organismes de santé. En général, les populations consomment en moyenne des doses d'édulcorants bien inférieures à la DJA. Cette dernière s'exprime en milligrammes d'édulcorant par kilogramme de poids corporel. Par exemple, la DJA d'aspartame est de 40 mg/kg.
La combinaison d’extraits végétaux que nous utilisons dans la recette de Coca‑Cola fait partie de nos secrets les plus précieux. C’est pourquoi dans notre étiquetage et conformément à la réglementation, nous ne dévoilons pas le détail des extraits de plantes que nous utilisons dans Coca‑Cola.
Extrait de la plante Stévia, cet édulcorant est originaire du Paraguay. Depuis plusieurs siècles en Amérique Latine, les feuilles de Stévia sont consommées pour édulcorer aliments et boissons, avec le même goût sucré. Différents principes actifs s'en extraient, dont les glycosides de stéviol, qui apportent un goût naturel, sans sucre, ni calorie. Certains édulcorants ont un pouvoir sucrant 30 à 600 fois supérieur au sucre, c’est la raison pour laquelle il est utilisé en très petite quantité.
Cet édulcorant d'origine naturelle issu d'une plante a fait l’objet de plus de 25 années de recherche, non seulement sur ses propriétés mais aussi pour établir son innocuité. Suite à un avis favorable de l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire), la France a autorisé en septembre 2009 l’utilisation d’extrait de stévia comme édulcorant, à condition qu'il contienne au minimum 97 % de glycosides de stéviol. L’autorisation européenne a été donnée en Novembre 2011. Les glycosides de stéviol viennent compléter la gamme d’édulcorants utilisés dans nos boissons. Aujourd’hui, Sprite, Fuze Tea, FÏNLEY et Coca‑Cola life contiennent l’édulcorant extrait de stévia.
La majorité des religions prescrivent des interdits alimentaires, le plus souvent pour des ingrédients d’origine animale. À ce titre, les boissons de The Coca‑Cola Company ne contiennent aucuns de ces ingrédients.
Tout au long de la fabrication des boissons, les ingrédients et les procédures industrielles font l’objet de contrôles rigoureux par le gouvernement et les autorités sanitaires. Et dans chaque pays où nos produits sont commercialisés. De fait, aucun ingrédient utilisé dans nos recettes n’est interdit par les autorités religieuses.
De plus, toutes nos boissons sont sans alcool. Elles sont d’ailleurs reconnues comme boissons non alcoolisées par les autorités gouvernementales de chaque pays.
Le caramel est l’un des plus anciens colorants alimentaires, utilisé comme ingrédient un peu partout dans le monde. Il confère à Coca‑Cola sa couleur intense.
C'est un ingrédient très fréquemment utilisé comme colorant dans la fabrication de denrées alimentaires telles que les boissons rafraîchissantes, le pain, la bière, les sauces et nappages, la confiserie, les céréales pour le petit-déjeuner et les glaces. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a réaffirmé la sécurité du colorant caramel en mars 2011, après avoir passé en revue l’ensemble de la littérature scientifique sur le sujet.
Le colorant caramel (E150d) est l’une des quatre catégories d'ingrédients à base de caramel autorisées par la Commission européenne. La dose journalière admissible (DJA) du caramel E150d est de 200 mg par kg de poids corporel, soit 12 g par jour pour une personne pesant 60 kg.
Les aliments contenant du sucre peuvent contribuer à l’apparition de caries dentaires – surtout chez les enfants et les adolescents. En cas de forte consommation, l’acidité et la teneur en sucres de certains aliments ou boissons peuvent aussi accroître le risque de l’érosion de l’émail des dents.
La consommation de sucres, d’aliments et de boissons qui contiennent des sucres, doit toujours se faire dans le cadre d’une alimentation équilibrée et en quantité raisonnable.
Surtout, veillez à bien vous brosser les dents après chaque repas – ou au minimum deux fois par jour. Le plus important est le brossage du soir.
Nous sommes nombreux à travers le monde à consommer chaque jour de la caféine dans des boissons telles que le café, le thé et les sodas.
La caféine est un excitant léger et si sa consommation régulière est brusquement interrompue, des maux de tête ou d'autres effets mineurs peuvent être ressentis chez certaines personnes. Néanmoins, l'utilisation de la caféine ne cause pas les types de symptômes physiques graves ou des comportements négatifs qui sont causés par des substances addictives comme les drogues et l'alcool par exemple.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et ne souhaitent pas en consommer en permanence. Nous proposons également une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Oui. Nous n’utilisons que les édulcorants soigneusement testés par des études scientifiques et dont la sécurité a été confirmée par des organisations internationales telles que le Comité mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).
Les édulcorants sont utilisés dans de nombreux aliments et boissons pour proposer aux consommateurs des options à teneur réduite en sucres, faibles en calories ou sans sucres. Nous les utilisons dans certains de nos produits car nous savons que les consommateurs sont nombreux à vouloir disposer d’un choix de boissons délicieuses avec moins de calories.
Nous utilisons principalement les édulcorants suivants : aspartame, sucralose, acésulfame de potassium et glycosides de steviol (extrait de la plante stévia). Ces édulcorants peuvent être utilisés seuls ou associés entre eux afin d’adapter le goût et les caractéristiques de la saveur sucrée aux besoins du produit et aux goûts des consommateurs.
La recette de Coca‑Cola est rigoureusement la même dans le monde entier. Les procédés de fabrication de ce produit restent inchangés et sont soumis aux normes de qualité très strictes de The Coca‑Cola Company.
La notion de goût est une appréciation subjective qui peut toutefois être perçue différemment selon la température à laquelle le produit est consommé, les aliments qui l’accompagnent, s’il est servi avec des glaçons dont l’eau est plus ou moins chlorée et enfin l’âge du produit.
Nos objets et nos bons de réduction sont réservés à nos offres promotionnelles. Nous vous invitons à vous rendre dans vos points de vente habituels (supermarchés, hypermarchés etc.) où nous organisons régulièrement des opérations promotionnelles.
La caféine a fait l’objet de nombreuses études scientifiques prouvant son innocuité. La caféine étant consommée depuis des siècles, nous en savons beaucoup à son sujet, il s’agit de l’un des ingrédients les plus étudiés au monde.
Chaque jour, des millions de personnes consomment des aliments et des boissons contenant de la caféine, parmi lesquels le café, le thé et les sodas. Les gens sont souvent surpris d’apprendre qu’un Coca‑Cola contient beaucoup moins de caféine que la même quantité de café.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et que d'autres ne veulent pas en consommer en permanence. C’est la raison pour laquelle nous proposons une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Oui, tous les ingrédients utilisés dans nos produits sont sûrs ; ils répondent aux normes supérieures de qualité et respectent la réglementation de chacun des pays où ils sont commercialisés. Cela est également le cas pour l’extrait de stevia que nous utilisons. Pour mémoire, la France a autorisé l’utilisation de l’édulcorant extrait de stevia depuis 2009.
Coca‑Cola sans sucres et Coca‑Cola light contiennent de la caféine. Ces deux boissons existent aussi en version sans caféine.
Vous êtes un professionnel, vous souhaitez commander, distribuer nos boissons ou obtenir des renseignements sur les services proposés par Coca‑Cola European Partners ? Une équipe spécialisée vous répond du lundi au vendredi de 9h à 17h, voici leurs coordonnées pour les contacter directement:
- Téléphone : 0 800 436 436 (lors de votre appel tapez 1 pour entrer en relation avec un conseiller)
- e-mail: coca-cola@serviceclients-ccep.com
Découvrez dès maintenant la plateforme en ligne Coca‑Cola European Partners, créée pour vous donner un accès direct aux produits et services : https://my.ccep.com/.
La boisson Coca‑Cola ne possède aucune propriété thérapeutique reconnue. Il s'agit d'une boisson pétillante appréciée de nombreux consommateurs pour son goût et ses qualités rafraîchissantes.
Non, Coca‑Cola ne contient pas de cocaïne ni tout autre substance nocive. De plus, cette substance n’a jamais été un ingrédient ajouté à Coca‑Cola.
Les aliments contenant du sucre peuvent contribuer à l’apparition de caries dentaires – surtout chez les enfants et les adolescents. En cas de forte consommation, l’acidité et la teneur en sucres de certains aliments ou boissons peuvent aussi accroître le risque de l’érosion de l’émail des dents.
La consommation de sucres, d’aliments et de boissons qui contiennent des sucres, doit toujours se faire dans le cadre d’une alimentation équilibrée et en quantité raisonnable.
Surtout, veillez à bien vous brosser les dents après chaque repas – ou au minimum deux fois par jour. Le plus important est le brossage du soir.
Nous sommes nombreux à travers le monde à consommer chaque jour de la caféine dans des boissons telles que le café, le thé et les sodas.
La caféine est un excitant léger et si sa consommation régulière est brusquement interrompue, des maux de tête ou d'autres effets mineurs peuvent être ressentis chez certaines personnes. Néanmoins, l'utilisation de la caféine ne cause pas les types de symptômes physiques graves ou des comportements négatifs qui sont causés par des substances addictives comme les drogues et l'alcool par exemple.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et ne souhaitent pas en consommer en permanence. Nous proposons également une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Oui. Nous n’utilisons que les édulcorants soigneusement testés par des études scientifiques et dont la sécurité a été confirmée par des organisations internationales telles que le Comité mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).
Les édulcorants sont utilisés dans de nombreux aliments et boissons pour proposer aux consommateurs des options à teneur réduite en sucres, faibles en calories ou sans sucres. Nous les utilisons dans certains de nos produits car nous savons que les consommateurs sont nombreux à vouloir disposer d’un choix de boissons délicieuses avec moins de calories.
Nous utilisons principalement les édulcorants suivants : aspartame, sucralose, acésulfame de potassium et glycosides de steviol (extrait de la plante stévia). Ces édulcorants peuvent être utilisés seuls ou associés entre eux afin d’adapter le goût et les caractéristiques de la saveur sucrée aux besoins du produit et aux goûts des consommateurs.
Nos objets et nos bons de réduction sont réservés à nos offres promotionnelles. Nous vous invitons à vous rendre dans vos points de vente habituels (supermarchés, hypermarchés etc.) où nous organisons régulièrement des opérations promotionnelles.
La caféine a fait l’objet de nombreuses études scientifiques prouvant son innocuité. La caféine étant consommée depuis des siècles, nous en savons beaucoup à son sujet, il s’agit de l’un des ingrédients les plus étudiés au monde.
Chaque jour, des millions de personnes consomment des aliments et des boissons contenant de la caféine, parmi lesquels le café, le thé et les sodas. Les gens sont souvent surpris d’apprendre qu’un Coca‑Cola contient beaucoup moins de caféine que la même quantité de café.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et que d'autres ne veulent pas en consommer en permanence. C’est la raison pour laquelle nous proposons une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Oui, tous les ingrédients utilisés dans nos produits sont sûrs ; ils répondent aux normes supérieures de qualité et respectent la réglementation de chacun des pays où ils sont commercialisés. Cela est également le cas pour l’extrait de stevia que nous utilisons. Pour mémoire, la France a autorisé l’utilisation de l’édulcorant extrait de stevia depuis 2009.
Vous êtes un professionnel, vous souhaitez commander, distribuer nos boissons ou obtenir des renseignements sur les services proposés par Coca‑Cola European Partners ? Une équipe spécialisée vous répond du lundi au vendredi de 9h à 17h, voici leurs coordonnées pour les contacter directement:
- Téléphone : 0 800 436 436 (lors de votre appel tapez 1 pour entrer en relation avec un conseiller)
- e-mail: coca-cola@serviceclients-ccep.com
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Les produits de notre gamme de boissons light et sans sucres sont sans sucres, sans calorie.
Nous recommandons à toute personne s’interrogeant sur le diabète de prendre contact avec son médecin.
Le fructose contenu dans les fruits est-il différent du sucre que nous mettons dans notre café ? Pas en soi. Il y a néanmoins parfois une confusion entre les deux. Pourquoi ? Et à quoi faut-il faire attention pour interpréter correctement la description sur, par exemple, les boissons rafraîchissantes ?
En soi, le nom révèle la principale différence entre les sucres naturels et leur variante ajoutée : l’origine. Les premiers se retrouvent naturellement dans un produit alimentaire ; les seconds sont ajoutés à la préparation par le producteur ou le consommateur. Mais après avoir mangé ou bu ces deux types de sucres, il se produit la même chose dans votre corps : il les transforme en glucose.
Sucres naturels
Les sucres sont naturellement présents dans les produits alimentaires tels que le lait, le miel ou les fruits. Des exemples connus sont le fructose (dans les fruits) et le lactose (dans le lait). Il peut exister des différences entre ces différents types lors de l’absorption par l’organisme (via le système digestif ou les intestins), mais notre corps fait exactement la même chose avec chaque type de sucre. Quel que soit le type de sucre, notre corps le transforme toujours en glucose, qui sert ensuite de source d’énergie.
Sucres ajoutés
Le sucre qu’un producteur ajoute lors de la fabrication de biscuits, de yaourts ou de boissons rafraîchissantes, par exemple, est appelé sucre « ajouté ». Les sucres que vous, en tant que consommateur, ajoutez vous-même aux boissons ou aux préparations entrent également dans cette catégorie.
Autant de calories
Les sucres naturels et ajoutés fournissent exactement la même quantité d’énergie à votre corps : 4 kcal par gramme pour être exact. C’est justement pour cette raison que vous trouvez la teneur totale en sucre (sucres naturels et sucres ajoutés) sur un emballage.
« Sans sucres ajoutés » ne signifie pas « sans sucre »
On peut parfois lire sur un emballage : « sans sucres ajoutés ». Cela ne signifie pas que le produit ne contient pas de sucre, mais que le producteur n’y a – littéralement – pas ajouté de sucre. Dans ce cas, il est possible que des sucres soient naturellement présents dans le produit. Mais la législation européenne stipule qu’il est obligatoire de le mentionner explicitement aussi dans ce cas de la manière suivante : « Contient des sucres d’origine naturelle (fruits et/ou lait) ».
Qu’entend-on alors par « sans sucre » ?
Si le produit ne contient ni sucres naturels ni sucres ajoutés, cela apparaît également sur l’emballage. Toutefois, l’allégation « sans sucre » ne signifie pas littéralement « 0 gramme » de sucre. Cette mention peut être utilisée si le produit contient au maximum 0,5 g de sucre pour 100 g (ou ml).
Entre Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres (autrefois appelé Coca‑Cola zero sucres), la confusion peut régner… Si ces deux boissons rafraîchissantes ont pour point commun de pouvoir déguster un Coca‑Cola sans la moindre calorie, elles n’ont cependant ni le même goût… ni la même histoire.
Coca‑Cola light et Coca‑Cola sans sucres : les différences de calories
Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres (anciennement commercialisé sous le nom de Coca‑Cola zero sucres) sont fabriqués en utilisant les mêmes édulcorants (aspartame et acésulfame-K). Ils sont donc tous deux sans sucres ni calories, mais ne perdent rien de leur délicieux goût de Coca‑Cola.
Coca‑Cola light et Coca‑Cola sans sucres : la différence de goût
C’est pourtant en matière de goût que ces deux boissons diffèrent légèrement. Coca‑Cola sans sucres possède davantage le goût et l’apparence du Coca‑Cola goût original, alors qu’il est vraiment sans sucre, tandis que le goût de Coca‑Cola light taste est plus léger grâce à un mélange d’arômes innovant.
Coca‑Cola light et Coca‑Cola sans sucres : un packaging pour chacun
Nous avons coutume de dire qu’il existe un Coca‑Cola pour tout le monde. Et, à l’image de toutes nos boissons, Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres se déclinent en différents formats et contenances, de la canette slim 250 ml « nomade » pour boire en déplacement, à la bouteille de 1,75l à partager avec vos amis et votre famille. Quelle que soit la raison pour laquelle vous dégustez un Coca‑Cola, l'absence de sucres ne doit pas rimer avec l'absence de choix.
L'histoire du Coca‑Cola light et du Coca‑Cola sans sucres
Coca‑Cola light taste : son histoire
Coca‑Cola light taste existe depuis 1982 aux États-Unis. Il s’agit de notre premier Coca‑Cola sans sucres. Arrivée en France en 1988, cette toute nouvelle version du Coca‑Cola sans calories est immédiatement adoptée et devient l’une des boissons les plus populaires auprès d’une base de fans extrêmement fidèles. Un succès qui doit beaucoup à sa recette inédite puisque Coca‑Cola light taste compte parmi ses ingrédients un mélange unique d'extraits végétaux et d'eau pétillante avec édulcorants.
Depuis, son célèbre packaging rouge et argent est devenu aussi emblématique que Coca‑Cola goût Original. Des spots TV sulfureux de « la pause Coca‑Cola light taste » jusqu’aux collaborations avec des créateurs de mode tels que Jean-Paul Gaultier et Marc Jacobs pour la confection de bouteilles et de canettes en édition limitée, il est devenu au fil des années un véritable phénomène culturel.
Coca‑Cola sans sucres : son histoire
Coca‑Cola sans sucres s'impose lui aussi comme une alternative sans calorie au Coca‑Cola goût Original. Initialement connu sous l’appellation Coca‑Cola zero sucres et avec un goût quasiment identique au Coca‑Cola Original taste, Coca‑Cola sans sucres, qui fait entrer dans sa composition des extraits végétaux ainsi que des édulcorants. La différence entre Coca‑Cola sans sucres et Coca‑Cola light taste repose principalement sur leurs saveurs différentes. Aussi, le goût spécifique et plus léger du Coca‑Cola light taste séduit généralement un public féminin, tandis que le Coca‑Cola sans sucres a su conquérir un public plus jeune et plus masculin grâce à son goût authentique mais également au design noir et rouge de ses bouteilles et canettes.
Coca‑Cola original taste : Eau gazéifiée ; sucre ; colorant : caramel (E 150d) ; acidifiant : acide phosphorique ; arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine.
Coca‑Cola sans sucres : Eau gazéifiée ; colorant : E150d ; acidifiants : acide phosphorique, citrate de sodium ; édulcorants : aspartame, acésulfame-K ; arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine. Contient une source de phénylalanine.
Oui, toute la gamme de Coca‑Cola sans sucres ne contient aucune calorie. La seule différence avec Coca‑Cola light taste, c'est le goût. Non, il n'y a pas de calorie dedans non plus !
De façon globale, The Coca‑Cola Company s'engage à faire évoluer ses boissons à teneur réduite en calories ou sans sucres pour s'adapter à chaque envie et à tous les besoins. D’ici 2025, 50 % des ventes proviendront des boissons hypocaloriques ou sans sucres.
Coca‑Cola, c’est avant tout 89% d’eau, des extraits végétaux et du sucre. En France, ce dernier - également connu sous le nom de sucre de table ou encore saccharose, est issu de la betterave, comme celui que vous utilisez dans votre thé ou votre café. Il est l’ingrédient qui donne au Coca‑Cola son goût unique et délicieux.
Les scientifiques l’appellent beta vulgaris et les gastronomes betterave. Cette plante herbacée bisannuelle, décrite pour la première fois par le naturaliste Linné en 1753, possède une racine épaisse dont la pulpe concentre les sucres à hauteur de 15 à 20%, selon les espèces. A l’issue du processus de production, ce saccharose prend la forme de carrés, poudre, morceaux ou est utilisé par l’industrie agroalimentaire, pour sucrer aliments et boissons. Coca‑Cola goût Original contient 10,6g de sucre pour 100ml.
La « Blanche de Silésie »
La betterave sucrière a été introduite en France à la fin du XVIIIe siècle. Nommée « Blanche de Silésie », elle se caractérisait à l’époque par sa teneur en saccharose (7%) et sa capacité à s’adapter aux climats tempérés – contrairement à la canne à sucre !
En conséquence, c’est dans le bassin parisien, le nord et l’est du pays que la betterave est la plus fréquemment cultivée : 90% des plantations hexagonales se situent ainsi au sud de la Loire.
Récolte et production : une course contre la montre
La betterave à sucre se récolte fin septembre, par arrachage des racines. La collecte des plantes doit être terminée avant l’arrivée des grands froids, et la racine traitée rapidement après avoir été extraite du sol, car sa teneur en sucre décroît rapidement.
Cette bataille contre le temps explique pourquoi, à l’automne, les sucreries – toujours construites à moins de 30 kilomètres des champs de betteraves - fonctionnent jour et nuit !
La France premier producteur mondial
La France est bien placée dans la production de sucre issu de la betterave : elle en est le premier producteur au monde. Pour la culture de la plante en elle-même, l’Hexagone se place au deuxième rang mondial, derrière le Brésil*.
La betterave sucrière a un rendement moyen de 60 à 90 tonnes par hectare. Ceci correspond à environ 13 tonnes de sucre par hectare de betterave cultivé.
* chiffres 2013, issus du rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture
Coca‑Cola ne contient aucun des allergènes listés à l’annexe II du règlement 1169/2011/CE concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires. Nos produits respectent la réglementation française en vigueur. Si un produit contient l’un des 14 allergènes majeurs ci-dessous, sa présence est mentionnée sur l’étiquette. Les 14 allergènes majeurs sont :
- Céréales contenant du gluten (à savoir blé, seigle, orge, avoine, épeautre, kamut ou leurs souches hybridées) et produits à base de ces céréales
- Crustacés et produits à base de crustacés
- Œufs et produits à base d’œufs
- Poissons et produits à base de poissons
- Arachides et produits à base d’arachides
- Soja et produits à base de soja
- Lait et produits à base de lait (y compris le lactose).
- Fruits à coque
- Céleri et produits à base de céleri
- Moutarde et produits à base de moutarde
- Graines de sésame et produits à base de graines de sésame
- Anhydride sulfureux et sulfites en concentrations supérieures à 10 mg/kg ou 10 mg/litre exprimées en dioxyde de soufre (SO2).
- Lupin et produits à base de lupin
- Mollusques et produits à base de mollusques
La boisson Coca‑Cola ne possède aucune propriété thérapeutique reconnue. Il s'agit d'une boisson pétillante appréciée de nombreux consommateurs pour son goût et ses qualités rafraîchissantes.
Non, Coca‑Cola ne contient pas de cocaïne ni tout autre substance nocive. De plus, cette substance n’a jamais été un ingrédient ajouté à Coca‑Cola.
Toutes les valeurs nutritionnelles de nos produits sont présentes sur nos emballages et donnent au consommateur des informations claires et intelligibles sur les calories contenues dans nos boissons et leurs contributions aux apports de référence. Un verre de 250 ml de Coca‑Cola correspond à 29 % des apports de référence en sucre pour un adulte-type (8 400 kJ/2 000 kcal).
Pour réduire le sucre de nos boissons, nous utilisons parmi les édulcorants suivants : l’aspartame (E 951), l’acésulfame-K (E 950), le sucralose (E 955) et les glycosides de stéviol (E960).
The Coca‑Cola Company a été l’une des premières à utiliser les glycosides de stéviol (E960), issu de la plante stévia, dans les recettes de FÏNLEY, Sprite et Fuze Tea. Associé au sucre l’extrait de stévia, d'origine naturelle, permet de proposer des boissons moins sucrées et aux goûts différents, suivant les attentes des consommateurs.
The Coca‑Cola Company réalisera 50% de ses ventes en 2025 avec des boissons sans sucres ou allégées en sucres et réduira le sucre de son portefeuille de produits d’au moins 10% entre 2015 et 2020.
L’aspartame est un édulcorant utilisé à la place du sucre dans de nombreux aliments ou boissons, dont le pouvoir sucrant est 200 fois supérieur à celui du saccharose, l'autre nom du "sucre de table". Nous utilisons de l’aspartame dans certains de nos produits afin de proposer des boissons sans sucres et sans calorie.
Autorisé en France en 1988, cet édulcorant a été soumis à plus de 200 études scientifiques, et son innocuité a été confirmée par des autorités mondialement reconnues, telles que le Comité mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA) et également par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) dans son dernier avis de décembre 2013.
L'aspartame en tant qu'édulcorant peut être consommé par tous, y compris les enfants et les femmes enceintes. La seule contre-indication à la consommation d’aspartame est la phénylcétonurie : une maladie génétique rare systématiquement détectée à la naissance.
Pour atteindre la dose journalière admissible (DJA) d’aspartame (40 mg par kg de poids corporel et par jour), l’Association internationale des édulcorants a calculé qu'une femme de 60 Kg devrait en théorie consommer, chaque jour de sa vie, 280 sucrettes ou 20 canettes de boissons light.
Un verre de Coca‑Cola original taste de 250 ml contient 105 calories (kcal) et un verre de 250 ml de Coca‑Cola original taste sans caféine 110 calories (kcal). Concernant Coca‑Cola zero sucres, un verre (250 ml) contient 1 calorie (kcal) ; il en va de même pour un verre de Coca‑Cola zero sucres sans caféine ou Coca‑Cola light taste sans caféine. Conformément à la législation en vigueur, un aliment ou une boisson apportant moins de 4 kcal pour 100 ml est considéré comme sans calorie.
Les informations nutritionnelles et énergétiques figurent sur le recto et le verso de chaque emballage. De plus, il est également possible de consulter, sur notre site Internet, les informations nutritionnelles pour 100 ml relatives à chacun des produits de The Coca‑Cola Company commercialisés en France.
Afin de s’adapter aux goûts, aux habitudes alimentaires quotidiennes et aux styles de vie des consommateurs, The Coca‑Cola Company a engagé un effort considérable en matière d’innovation afin de proposer au marché de nouvelles marques présentant des identités différentes. Elles permettent d’élargir notre gamme et de proposer plus de choix aux consommateurs avec des boissons sans sucres ou à teneur réduite en sucres.
Nous réaliserons 50% de nos ventes en 2025 avec des boissons sans sucres ou allégées en sucres, réduirons le sucre dans notre portefeuille de produits d’au moins 10% entre 2015 et 2020 et enfin aiderons les consommateurs à réduire leur consommation de sucre grâce à des informations accessibles sur nos produits et en proposant des formats plus petits.
Un édulcorant est une substance qui procure une saveur douce, et qui permet généralement de remplacer les sucres. Les édulcorants, ou alternatives au sucre, permettent de réduire, de façon simple, le nombre de calories de notre alimentation sans affecter le plaisir issu de la consommation d’aliments et de boissons sucrés. Ainsi, ils peuvent constituer une aide utile à la gestion des calories, dans le cadre d’une alimentation équilibrée.
Appartenant à la famille des additifs, les édulcorants sont utilisés depuis de nombreuses années dans les produits alimentaires à faible teneur en calories. Certains édulcorants ont un pouvoir sucrant 30 à 600 fois supérieur au sucre, c’est la raison pour laquelle ils sont utilisés en très petite quantité. Dans le cas des boissons « light » ou « zero », le remplacement par des alternatives au sucre permet de faire une économie énergétique proche de 100%.
La plupart des édulcorants se fabrique par processus chimique, en laboratoire. Les glycosides de stéviol (E960) utilisées dans certaines boissons comme Fuze ou encore Fïnley sont extraits de la plante stévia rebaudiana.
Dans nos boissons, nous choisissons parmi les édulcorants intenses suivants :
- L’aspartame (pouvoir sucrant : 200)
- L’acésulfame K (pouvoir sucrant : 200)
- Le sucralose (pouvoir sucrant : 600)
- Les glycosides de stéviol (pouvoir sucrant : 200)
- La néohéspéridine DC (pouvoir sucrant entre 400 et 600)
L’utilisation de ces alternatives au sucre nous permet d’élargir notre gamme de boissons à teneurs réduites en sucres et sans sucres. En effet, entre 2010 et 2016, nous avons fait évoluer 13 de nos recettes afin de réduire leurs teneurs en sucres.
Tous les édulcorants intenses sont soumis à une dose journalière admissible (DJA) qui a été définie par certaines institutions officielles et organismes de santé. En général, les populations consomment en moyenne des doses d'édulcorants bien inférieures à la DJA. Cette dernière s'exprime en milligrammes d'édulcorant par kilogramme de poids corporel. Par exemple, la DJA d'aspartame est de 40 mg/kg.
La combinaison d’extraits végétaux que nous utilisons dans la recette de Coca‑Cola fait partie de nos secrets les plus précieux. C’est pourquoi dans notre étiquetage et conformément à la réglementation, nous ne dévoilons pas le détail des extraits de plantes que nous utilisons dans Coca‑Cola.
Extrait de la plante Stévia, cet édulcorant est originaire du Paraguay. Depuis plusieurs siècles en Amérique Latine, les feuilles de Stévia sont consommées pour édulcorer aliments et boissons, avec le même goût sucré. Différents principes actifs s'en extraient, dont les glycosides de stéviol, qui apportent un goût naturel, sans sucre, ni calorie. Certains édulcorants ont un pouvoir sucrant 30 à 600 fois supérieur au sucre, c’est la raison pour laquelle il est utilisé en très petite quantité.
Cet édulcorant d'origine naturelle issu d'une plante a fait l’objet de plus de 25 années de recherche, non seulement sur ses propriétés mais aussi pour établir son innocuité. Suite à un avis favorable de l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire), la France a autorisé en septembre 2009 l’utilisation d’extrait de stévia comme édulcorant, à condition qu'il contienne au minimum 97 % de glycosides de stéviol. L’autorisation européenne a été donnée en Novembre 2011. Les glycosides de stéviol viennent compléter la gamme d’édulcorants utilisés dans nos boissons. Aujourd’hui, Sprite, Fuze Tea, FÏNLEY et Coca‑Cola life contiennent l’édulcorant extrait de stévia.
La majorité des religions prescrivent des interdits alimentaires, le plus souvent pour des ingrédients d’origine animale. À ce titre, les boissons de The Coca‑Cola Company ne contiennent aucuns de ces ingrédients.
Tout au long de la fabrication des boissons, les ingrédients et les procédures industrielles font l’objet de contrôles rigoureux par le gouvernement et les autorités sanitaires. Et dans chaque pays où nos produits sont commercialisés. De fait, aucun ingrédient utilisé dans nos recettes n’est interdit par les autorités religieuses.
De plus, toutes nos boissons sont sans alcool. Elles sont d’ailleurs reconnues comme boissons non alcoolisées par les autorités gouvernementales de chaque pays.
Le caramel est l’un des plus anciens colorants alimentaires, utilisé comme ingrédient un peu partout dans le monde. Il confère à Coca‑Cola sa couleur intense.
C'est un ingrédient très fréquemment utilisé comme colorant dans la fabrication de denrées alimentaires telles que les boissons rafraîchissantes, le pain, la bière, les sauces et nappages, la confiserie, les céréales pour le petit-déjeuner et les glaces. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a réaffirmé la sécurité du colorant caramel en mars 2011, après avoir passé en revue l’ensemble de la littérature scientifique sur le sujet.
Le colorant caramel (E150d) est l’une des quatre catégories d'ingrédients à base de caramel autorisées par la Commission européenne. La dose journalière admissible (DJA) du caramel E150d est de 200 mg par kg de poids corporel, soit 12 g par jour pour une personne pesant 60 kg.
Les aliments contenant du sucre peuvent contribuer à l’apparition de caries dentaires – surtout chez les enfants et les adolescents. En cas de forte consommation, l’acidité et la teneur en sucres de certains aliments ou boissons peuvent aussi accroître le risque de l’érosion de l’émail des dents.
La consommation de sucres, d’aliments et de boissons qui contiennent des sucres, doit toujours se faire dans le cadre d’une alimentation équilibrée et en quantité raisonnable.
Surtout, veillez à bien vous brosser les dents après chaque repas – ou au minimum deux fois par jour. Le plus important est le brossage du soir.
Nous sommes nombreux à travers le monde à consommer chaque jour de la caféine dans des boissons telles que le café, le thé et les sodas.
La caféine est un excitant léger et si sa consommation régulière est brusquement interrompue, des maux de tête ou d'autres effets mineurs peuvent être ressentis chez certaines personnes. Néanmoins, l'utilisation de la caféine ne cause pas les types de symptômes physiques graves ou des comportements négatifs qui sont causés par des substances addictives comme les drogues et l'alcool par exemple.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et ne souhaitent pas en consommer en permanence. Nous proposons également une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Oui. Nous n’utilisons que les édulcorants soigneusement testés par des études scientifiques et dont la sécurité a été confirmée par des organisations internationales telles que le Comité mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).
Les édulcorants sont utilisés dans de nombreux aliments et boissons pour proposer aux consommateurs des options à teneur réduite en sucres, faibles en calories ou sans sucres. Nous les utilisons dans certains de nos produits car nous savons que les consommateurs sont nombreux à vouloir disposer d’un choix de boissons délicieuses avec moins de calories.
Nous utilisons principalement les édulcorants suivants : aspartame, sucralose, acésulfame de potassium et glycosides de steviol (extrait de la plante stévia). Ces édulcorants peuvent être utilisés seuls ou associés entre eux afin d’adapter le goût et les caractéristiques de la saveur sucrée aux besoins du produit et aux goûts des consommateurs.
La recette de Coca‑Cola est rigoureusement la même dans le monde entier. Les procédés de fabrication de ce produit restent inchangés et sont soumis aux normes de qualité très strictes de The Coca‑Cola Company.
La notion de goût est une appréciation subjective qui peut toutefois être perçue différemment selon la température à laquelle le produit est consommé, les aliments qui l’accompagnent, s’il est servi avec des glaçons dont l’eau est plus ou moins chlorée et enfin l’âge du produit.
Nos objets et nos bons de réduction sont réservés à nos offres promotionnelles. Nous vous invitons à vous rendre dans vos points de vente habituels (supermarchés, hypermarchés etc.) où nous organisons régulièrement des opérations promotionnelles.
La caféine a fait l’objet de nombreuses études scientifiques prouvant son innocuité. La caféine étant consommée depuis des siècles, nous en savons beaucoup à son sujet, il s’agit de l’un des ingrédients les plus étudiés au monde.
Chaque jour, des millions de personnes consomment des aliments et des boissons contenant de la caféine, parmi lesquels le café, le thé et les sodas. Les gens sont souvent surpris d’apprendre qu’un Coca‑Cola contient beaucoup moins de caféine que la même quantité de café.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et que d'autres ne veulent pas en consommer en permanence. C’est la raison pour laquelle nous proposons une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Nous sommes nombreux à travers le monde à consommer chaque jour de la caféine dans des boissons telles que le café, le thé et les sodas.
La caféine est un excitant léger et si sa consommation régulière est brusquement interrompue, des maux de tête ou d'autres effets mineurs peuvent être ressentis chez certaines personnes. Néanmoins, l'utilisation de la caféine ne cause pas les types de symptômes physiques graves ou des comportements négatifs qui sont causés par des substances addictives comme les drogues et l'alcool par exemple.
Nous savons que certaines personnes ne consomment pas de caféine et ne souhaitent pas en consommer en permanence. Nous proposons également une gamme de boissons sans caféine afin que les consommateurs puissent choisir ce qui leur convient, à eux et à leurs familles.
Oui, tous les ingrédients utilisés dans nos produits sont sûrs ; ils répondent aux normes supérieures de qualité et respectent la réglementation de chacun des pays où ils sont commercialisés. Cela est également le cas pour l’extrait de stevia que nous utilisons. Pour mémoire, la France a autorisé l’utilisation de l’édulcorant extrait de stevia depuis 2009.
Coca‑Cola sans sucres et Coca‑Cola light contiennent de la caféine. Ces deux boissons existent aussi en version sans caféine.
Vous êtes un professionnel, vous souhaitez commander, distribuer nos boissons ou obtenir des renseignements sur les services proposés par Coca‑Cola European Partners ? Une équipe spécialisée vous répond du lundi au vendredi de 9h à 17h, voici leurs coordonnées pour les contacter directement:
- Téléphone : 0 800 436 436 (lors de votre appel tapez 1 pour entrer en relation avec un conseiller)
- e-mail: coca-cola@serviceclients-ccep.com
Découvrez dès maintenant la plateforme en ligne Coca‑Cola European Partners, créée pour vous donner un accès direct aux produits et services : https://my.ccep.com/.
La boisson Coca‑Cola est arrivée pour la première fois en France au printemps 1919, importée à Bordeaux par Georges Delcroix, un officier français. Ensuite, les bouteilles de Coca‑Cola sont apparues, officiellement dans les cafés en 1933, et notamment au Café Tabac de l'Europe près de la gare St Lazare, à Paris. Vous trouverez l’histoire complète de Coca‑Cola en France dans un ouvrage intitulé «Coca‑Cola, une aventure industrielle » aux Editions de La Martinière ».
Le nom Coca‑Cola a été suggéré en 1886 par le comptable et ami du Dr John S.Pemberton, Franck M. Robinson qui est également à l’origine du célèbre et dynamique graphisme encore utilisé de nos jours.
En France, vous pouvez contacter le Club Français des Collectionneurs de Coca‑Cola, qui organise régulièrement des conventions de collectionneurs.
Aux Etats-Unis, The Coca‑Cola Collector Club est une association gérée par des collectionneurs pour les collectionneurs et toute personne intéressée par l’histoire et les objets liés à la marque Coca‑Cola. Ce club de collectionneurs publie régulièrement des revues.
Nous vous invitons à visiter www.theverybestofcocacola.com ou
Pour plus d’informations sur ce club, vous pouvez écrire à :
The Coca‑Cola Collectors club
PMB 609, suite A
4780 Ashford Dunwoody Rd
Atlanta, GA 30338
Ou visiter les sites ci-dessous :
www.shopcoke.com
www.coca-colastore.com
www.cocacolaclub.org
www.2collectcola.com
Vous pouvez également acquérir le «Petretti's Coca‑Cola collectibles price guide» qui est la référence pour les collectionneurs. Il est en vente sur la plupart des sites spécialisées dans la vente de Cd, livres etc.
Non. Nous ne revendiquons pas la couleur rouge du manteau du Père Noël bien que cette couleur soit étroitement liée à l’histoire de Coca‑Cola. Très tôt, dans de nombreuses lectures de l’histoire du Père Noël, celui-ci est représenté avec un costume rouge et, notamment dans les illustrations du célèbre caricaturiste Thomas Nast et sur les cartes postales imprimées par Louis Prang.
Coca‑Cola a contribué à créer l’image moderne du Père Noël, à savoir celle d’un homme débonnaire et rondelet qui arbore fièrement une longue barbe blanche. En fin de compte, les publicités de Coca‑Cola ont largement influencé la manière dont la plupart d’entre nous le perçoivent aujourd’hui. Avant ces publicités, le Père Noël était représenté de nombreuses manières différentes, parfois même sous les traits d’un lutin effrayant, mais il était déjà vêtu de rouge !
C’est en décembre 1931 que Coca‑Cola a introduit cette nouvelle image joviale à figure humaine du Père Noël, créée par l’illustrateur Haddon Sundblom. De 1931 à 1964, Haddon Sundblom crée les publicités représentant le Père Noël qui seront exploitées par Coca‑Cola lors des fêtes de fin d’année. Ce sont ces mêmes images qui figurent toujours aujourd’hui sur les bouteilles, les boîtes et autres emballages.
Bien plus qu’un engagement, la promotion de la diversité et de l’inclusion font partie intégrante de l’ADN de Coca‑Cola France. Nous avons à cœur d’offrir à nos collaborateurs un environnement de travail épanouissant, où chacun peut se sentir libre d’être lui-même et reconnu dans ce qu’il a d’unique. Aussi, au travers du Guide Handicap nous souhaitons favoriser l’inclusion des personnes en situation de handicap au sein de Coca‑Cola en France, que ces handicaps soient visibles ou invisibles. Nous sommes convaincus que la diversité et l’inclusion fait la richesse de notre entreprise et la force de nos équipes. Ensemble, encourageons l’ouverture aux autres et luttons contre les inégalités et la discrimination au sein de Coca‑Cola en France.
Vous êtes un professionnel, vous souhaitez commander, distribuer nos boissons ou obtenir des renseignements sur les services proposés par Coca‑Cola European Partners ? Une équipe spécialisée vous répond du lundi au vendredi de 9h à 17h, voici leurs coordonnées pour les contacter directement:
- Téléphone : 0 800 436 436 (lors de votre appel tapez 1 pour entrer en relation avec un conseiller)
- e-mail: coca-cola@serviceclients-ccep.com
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Dans le cadre de la déclaration de partenariat et de nos soutiens aux travaux et recherches scientifiques sur la nutrition et le bien-être, nous publions également la liste des professionnels de santé et des scientifiques ou experts avec lesquels nous avons travaillé ou que nous avons consultés.
Nous nous appuyons régulièrement sur des experts pour leur demander de partager leurs connaissances relatives à la nutrition et/ou à l’activité physique avec le grand public, les professionnels de santé et la communauté scientifique. Tous expriment leur propre point de vue et déclarent leurs collaborations avec Coca‑Cola.
La mention d'un expert sur la liste :
1. Ne signifie pas qu'il/elle a forcément actuellement une relation avec The Coca‑Cola Company, ou l'une de ses filiales ou avec la Fondation Coca‑Cola ; et
2. Ne signifie aucunement qu’il promeut les produits ou les activités de The Coca‑Cola Company, ou la Fondation Coca‑Cola.
Vous trouverez ci-dessous la liste des experts avec lesquels nous avons travaillé de 2010 à 2020. Le montant total des financements apportés sur cette période, comprenant les frais de déplacement, les dépenses connexes et les honoraires professionnels en France est de 90 273 €.
France Bellisle, Docteur en Sciences
Xavier Bigard, Professeur, physiologiste, nutritionniste
François Carré, Professeur, cardiologue et médecin du sport
Arnaud Cocaul, Médecin nutritionniste
Richard C. Delerins, Ph.D., anthropologue EHESS Paris
Charles-Yannick Guezennec, Médecin du sport
Bernard Guy-Grand, Professeur des universités honoraire
Pascale Hébel, Directrice du Pôle Consommation et Entreprise au CREDOC
Emmanuelle Lecuyer, Diététicienne nutritionniste
Sandrine Leroux, Diététicienne nutritionniste
Thérèse Libert, Diéteticienne nutritionniste
Pascale Modaï, Médecin nutritionniste
Christine Rodier, Anthropologue, Université de Lausanne
Claire Rousseau, Diététicienne nutritionniste
Jean-Louis Schlienger, Professeur honoraire de la faculté de médecine de Strasbourg
Gabriel Tavoularis, Expert de la consommation alimentaire au CREDOC
Julie Viel, Diététicienne nutritionniste
Bernard Wayslfeld, Médecin nutritionniste et psychiatre
La lutte contre l’obésité est l’un des enjeux majeurs de santé publique. C’est un sujet complexe qui exige la mobilisation de tous : les pouvoirs publics, les professionnels de santé, les industriels, aux côtés des consommateurs.
En tant qu’entreprise leader sur le marché des boissons sans alcool, nous avons un rôle à jouer et nous sommes déterminés à le jouer pleinement.
C’est pourquoi, concrètement, nous avons 3 objectifs majeurs :
Plus de choix et moins de sucres
- Offrir un large choix de boissons et de formats, tout en continuant à innover pour réduire la teneur en calories de nos boissons
Plus d’information
- Informer de manière claire et simple, pour aider chacun à faire les bons choix
Etre un acteur responsable
- Communiquer de manière responsable en ne menant aucune action marketing auprès des enfants de moins de 12 ans et ce, en conformité avec les engagements pris par The Coca‑Cola Company dans le cadre du EU Pledge (2007) et de l’Unesda (2006).
Nous sommes convaincus que nous pouvons faire avancer les choses, par le biais de nos initiatives mais également par le dialogue avec l’ensemble des parties prenantes.
1) Plus de choix et moins de sucres
Pétillantes, à base de fruits, sucrées, à teneur réduite en calories ou sans calorie...Ce sont aujourd’hui plus de 60 boissons que nous proposons en France pour répondre aux envies de chacun.
Des progrès constants pour réduire les calories de nos boissons
- Il y a 30 ans, en Europe, nous donnions naissance à Coca‑Cola light, notre première boisson pétillante sans sucres et sans calorie.
- En 2016, nous avons fait évoluer la recette initiale de Coca‑Cola life tout en conservant une nouvelle fois des extraits de stevia* (* glycosides de steviol). Coca‑Cola life contient désormais 40 % de sucres et de calories en moins**(**40 % de calories en moins que la moyenne des colas sucrés, grâce à une réduction de sucres de 40 %, résultant de l’utilisation de l’extrait de stévia).
- En Europe et en France, plus de la moitié de nos boissons sont à teneur réduite en sucres ou sans sucres.
Une participation active à la recherche et à l’innovation
Nous travaillons avec des experts à l’élaboration de nouveaux ingrédients pour nos boissons. C’est le cas notamment de l’extrait de stévia, un édulcorant d’origine naturelle. Cet édulcorant a fait l’objet de 25 années de recherche pour s’assurer de son innocuité mais également de développer de nouvelles recettes moins caloriques mais toujours aussi savoureuses. Nous avons été l’une des premières entreprises à utiliser l’extrait de stévia dans le cadre de la reformulation de notre boisson Sprite par exemple.
Depuis 2010 :
- 48 innovations ont été lancées sur le marché avec moins de sucres, comme Honest ou Fuze Tea.
- Le sucre a baissé dans 16 boissons de notre gamme de boissons, par exemple, Fanta -30%*, Coca‑Cola life -40%*...
*Par rapport aux anciennes recettes de la gamme ou à la plupart des boissons rafraîchissantes sucrées
Notre laboratoire R&D (Recherche & Développement) situé à Bruxelles est également en recherche permanente de nouveaux ingrédients au pouvoir sucrant qui n’ajoutent ni sucres ni calories.
Nous avons deux ambitions majeures :
1. Coca‑Cola en Europe avait pour ambition de réduire le sucre de 10% en moyenne entre 2015 et 2020, et l’objectif a donc été atteint sur cette période.
2. En France, nous souhaitons que 50% de nos ventes soient issues de boissons sans sucres ou à teneur réduite en sucres d’ici 2025.
Un large éventail de formats
Pour offrir toujours plus de choix aux consommateurs, nous proposons plusieurs conditionnements pour nos principales boissons, allant des mini-cannettes individuelles de 15 cl aux bouteilles de 2 litres à partager. En 2014, nous avons en complément lancé un nouveau format : la canette de 25 cl.
2) Etiquetage nutritionnel : un engagement volontaire depuis 2005.
Nous avons été parmi les premiers en France à mettre en place dès 2005 un étiquetage nutritionnel complet, clair et transparent, alors que celui-ci n’était pas encore obligatoire.
Nous mentionnons les valeurs nutritionnelles pour 100 ml de produit, notamment les teneurs en calories et en sucres.
Et, comme le prévoit la réglementation :
- nous indiquons les valeurs nutritionnelles pour une portion et leurs contributions aux apports de référence*,
- et ce, à la fois sur la face arrière et sur la face avant des étiquettes, pour que ces informations soient rapidement et facilement accessibles au consommateur.
Pour accompagner au mieux le consommateur dans ses choix. Cet engagement en matière d’étiquetage concerne 100% des étiquettes de nos produits.
*Les apports de référence pour un adulte correspondent aux quantités de calories (8400 KJ/ 2000 Kcal) et de nutriments (protéines, glucides, sucre…) dont la majorité des adultes a besoin pour être en bonne santé.
Depuis 2016, un nouveau symbole indique de manière plus claire le nombre de verres associé à chaque format de boisson.
3) Une communication responsable
Depuis plusieurs années la profession s’est engagée à ne plus faire de publicité envers les enfants de moins de 12 ans à la télévision et sur internet, en respectant l’autorité parentale. Jusqu’en 2012 cet engagement s’appliquait aux chaînes et émissions pour enfants, émissions grand public regroupant une audience de plus de 50% d’enfants.
À partir de 2013, les signataires diminuent encore ce seuil et s’interdisent désormais toute publicité télévisée ou internet dans les émissions où l’audience est constituée de plus de 35% d’enfants de moins de 12 ans.
De plus, The Coca‑Cola Company est l'un des membres fondateurs de l'EU Pledge, une initiative volontaire de grandes entreprises agro-alimentaires visant à modifier la publicité pour les aliments et les boissons destinés aux enfants de moins de 12 ans dans l'Union européenne. L’EU Pledge rassemble 21 entreprises représentant environ 85% des dépenses de marketing alimentaires sur le continent avec l'objectif commun de réduire l'impact sur les enfants de la commercialisation de produits riches en sel, sucres et matières grasses.
En 2018, les taux de conformité aux engagements de l'UE de The Coca‑Cola Company étaient de 96,2% pour la télévision, de 100% pour les médias sociaux et de 100% pour les sites web appartenant à l'entreprise.
L'engagement de l'UE a été renforcé en vue d'accroître la transparence et la responsabilité par le lancement d'un mécanisme grâce auquel les citoyens et les organisations peuvent remettre en question la conformité des communications marketing avec cet engagement.
GÉNÉRALITÉS
1. Quel est l'objectif de cette déclaration ?
Nous comprenons que les gens ont des questions sur notre soutien à la recherche scientifique lié au bien-être, aux partenariats, aux professionnels de la santé et aux experts scientifiques.
Cette déclaration nous permet de partager la liste de nos partenariats en matière de santé et de bien-être. Elle répertorie les professionnels de la santé et les experts scientifiques avec lesquels nous avons travaillé depuis 2010. Bien que nous ayons toujours été transparents sur le financement de la recherche et le soutien que nous apportons aux organisations liées à la nutrition et à la santé, ce site permet de rendre l’information accessible à chacun. Nos pages sont mises à jour tous les ans.
Si vous avez des questions concernant notre démarche de transparence, n’hésitez pas à nous contacter à cette adresse : fr.ciccontact@coca-cola.fr
2. Quels changements ont été apportés au site depuis décembre 2019 ?
Notre investissement total actualisé dans les activités de recherche scientifique et de partenariat entre le 1er janvier 2010 et le 30 septembre 2020 est de 7 856 260€.
Ce financement comprend le soutien apporté par The Coca‑Cola Company, l’une de ses branches ou filiales, ou The Coca‑Cola Foundation à des entités juridiques basées en France ou principalement axées sur la France pour des partenariats et des recherches scientifiques sur la santé et le bien-être du 1er janvier 2010 au 30 septembre 2020.
Depuis notre dernière déclaration publiée en décembre 2019, nous avons investi 28 684€ pour des projets dans le domaine de la santé, du bien-être et du sport. Ce montant a été investi entre le 30 septembre 2019 et le 30 septembre 2020.
3. Quelles mesures supplémentaires The Coca‑Cola Company va-t-elle mettre en place dans sa recherche d'une plus grande transparence sur ses partenariats et ses recherches ?
Cette initiative est une étape supplémentaire dans l’amélioration continue de la communication sur le soutien financier que nous apportons aux recherches scientifiques et aux partenariats relatifs à la santé et au bien-être. La liste de nos partenariats dans ces domaines sera mise à jour et publiée chaque année.
Début 2016, nous avons mis en œuvre une nouvelle série de principes directeurs qui définissent la façon dont notre compagnie soutiendra financièrement la recherche scientifique sur le bien-être et les partenariats. Bien que notre soutien antérieur à la recherche sur la santé et le bien-être ait produit des résultats scientifiquement valides, avec nos principes directeurs, nous souhaitons éviter tout conflit d'intérêt et remise en question des résultats lorsque nous sommes les seuls financeurs de ces recherches.
Cliquez ici pour plus d'informations.
4. Comment les nouveaux principes directeurs s'appliquent-ils au financement de la recherche scientifique sur le bien-être et à l'engagement des tiers ?
Les nouveaux principes directeurs servent de feuille de route pour la recherche scientifique et les partenariats en matière de bien-être. Ils définissent notre engagement et veillent à ce que nos intentions soient suffisamment claires et transparentes. Tous les futurs partenariats liés au bien-être seront évalués en fonction des nouvelles lignes directrices.
5. Pourquoi diffusez-vous ces informations maintenant ?
Nous avons toujours été transparents sur nos soutiens financiers à la recherche scientifique et aux partenariats en matière de santé et de bien-être. Dès 2015, nous avons publié au même endroit la liste de nos partenariats en matière de santé et de bien-être en France et nous nous sommes engagés à publier cette information mise à jour annuellement.
6. De quoi cette liste est-elle composée ?
Nous avons inclus les fonds accordés par The Coca‑Cola Company, l'une de ses filiales, ou par la Fondation Coca‑Cola à des entités juridiques basées en France ou principalement axées sur la France pour des partenariats et des recherches scientifiques sur la santé et le bien-être.
Nous avons exclu les fonds accordés à des entités situées hors de France. Sont également exclus :
• les recherches sur les ingrédients, l'emballage, les produits ou les marques qui ne sont pas liés aux apports alimentaires, à la nutrition et la santé, et à l'activité physique ;
• la recherche et le développement sur les nouveaux ingrédients, l'emballage, les produits ou les marques ;
• les versements à des fournisseurs de services tiers de services médiatiques, publicitaires et logistiques, en soutien aux partenariats santé et bien-être mentionnés ;
• les versements de moins de 500 € sur une base globale annuelle.
Pour consulter en détail ce qui est compris ou non dans cette déclaration, cliquez ici
7. Que voulez-vous dire par « partenariats » ?
Dans le cadre de cette liste, nous utilisons le terme « partenariat » dans un sens informel, en faisant référence à notre relation avec les entités basées en France et ayant reçu des fonds de The Coca‑Cola Company, l'une de ses filiales, ou la Fondation Coca‑Cola afin de soutenir leurs programmes de santé et de bien-être et les activités de communication menées de 2010 à 2020.
8. Que voulez-vous dire par « recherches » ?
La déclaration aborde la question du financement des recherches externes sur l’alimentation, la nutrition, et l'activité physique.
9. Pourquoi y a-t-il encore des éléments de votre liste de divulgation qui ne sont pas conformes aux nouveaux principes directeurs ?
L'application de ces nouvelles lignes directrices dans l'ensemble de notre organisation a commencé en 2016 et se poursuit. Il se peut que certains éléments de cette liste de divulgation soient survenus avant la mise en œuvre de nos principes directeurs. Ces éléments sont présentés, dans le cadre de notre engagement permanent de publication à intervalles réguliers, tous les financements de la recherche scientifique et des partenariats dans le domaine du bien-être du 1er janvier 2010 au 30 septembre 2020, qui répondent à nos critères d'inclusion sur ce site. Ce site Web est mis à jour chaque année.
QUESTIONS GÉNÉRALES SUR LA RECHERCHE ET LA TRANSPARENCE
10. The Coca‑Cola Company mène-t-elle des recherches sur la nutrition et l’activité physique ?
Nos partenariats et notre soutien passé à la recherche scientifique sur la nutrition et l’activité physique a produit des résultats scientifiquement valables, cependant nous avons identifié une opportunité afin d’éviter certaines des questions qui se posent lorsque nous sommes le seul financeur de ses recherches.
Début 2016, nous avons commencé à mettre en œuvre un ensemble de nouveaux principes directeurs qui définissent la façon dont notre compagnie fournira un soutien financier pour la recherche scientifique sur la nutrition et l’activité physique mais aussi les partenariats. Cliquez ici pour plus d'informations.
11. Pourquoi The Coca‑Cola Company finance-t-elle la recherche ?
Nous pensons que soutenir la recherche est important dans le fonctionnement de toute entreprise responsable. En tant qu’entreprise leader sur le marché des boissons sans alcool, nous croyons qu'il est impératif de soutenir la recherche scientifique en cours concernant nos boissons, nos ingrédients et les recherches liées à la santé. Cependant, nous évoluons dans notre approche de financement de la recherche scientifique sur la nutrition et l’activité physique ainsi que les partenariats. Début 2016, nous avons commencé à mettre en œuvre une série de nouveaux principes directeurs qui définissent la façon dont notre société fournira un soutien financier à la recherche scientifique sur le bien-être et aux partenariats. En vertu de ces nouvelles lignes directrices, l'entreprise ne fournira pas, directement ou par l'intermédiaire d'une tierce partie (telle qu'une association professionnelle), la totalité du financement de la recherche scientifique sur le bien-être et la santé. Nous accorderons plutôt un soutien financier à de telles recherches que si une autre entité que Coca‑Cola finance au moins 50% des coûts.
Pour plus d'informations veuillez consulter la page des principes directeurs.
12. Qu'est-ce que la Fondation Coca‑Cola et quelle est la différence avec The Coca‑Cola Company ?
La Fondation Coca‑Cola est le bras philanthropique mondial de The Coca‑Cola Company. Elle a été créée aux États-Unis en 1984 sous la forme d'une organisation caritative. The Coca‑Cola Company s'engage à redistribuer chaque année 1 pour cent de son résultat d'exploitation de l'année précédente ; elle le fait en grande partie via la Fondation Coca‑Cola.
Pour obtenir davantage d'informations sur la Fondation Coca‑Cola, veuillez cliquer ici.
13. Face à la publication de vos programmes de financement, comment pouvons-nous être certains que la liste est complète ?
Nous avons essayé, en toute bonne foi, de déclarer tous les financements qui répondent aux critères d'inclusion. Si nous avons oublié un élément qui répond à ces critères, nous l'ajouterons dans une mise à jour ultérieure que nous prévoyons de publier une fois par an.
14. Pourquoi Coca‑Cola finance des organisations dans le domaine de la nutrition et de l’activité physique ?
Nous travaillons avec des experts individuels et des organisations pour pouvoir apprendre à leurs côtés en nous appuyant sur leur expérience à la fois vaste et indépendante. De cette façon, ils peuvent nous fournir des informations clés concernant nos produits et nos ingrédients. Cela nous permet de renforcer nos connaissances, d'améliorer nos actions et d'offrir davantage de choix aux consommateurs.
Début 2016, nous avons commencé à mettre en œuvre une nouvelle série de principes directeurs qui définissent la façon dont notre société fournira un soutien financier à la recherche scientifique sur le bien-être et aux partenariats. Cliquez ici pour plus d'informations.
13. Attendez-vous des organisations qui reçoivent un appui financier de la part de Coca‑Cola qu'elles soutiennent vos produits ?
Non. Nous travaillons avec des experts et des organisations indépendants pour les écouter et apprendre de leur expertise. Ceci nous guide dans nos actions au quotidien.
En tant qu’entreprise citoyenne responsable, nous tenons à rester un partenaire crédible et performant. Fin 2015, nous nous sommes engagés à communiquer l’ensemble des financements que nous accordions à des partenariats et à des programmes de recherche scientifique sur le bien-être, avec effet rétroactif en 2010. Nous nous sommes ainsi engagés à mettre à jour cette liste chaque année en France. Il s'agit de la 6ème publication de cette déclaration. Si vous consultez régulièrement notre site Internet, vous aurez peut-être constaté que le nombre d’éléments figurant sur cette liste se réduit à chaque période de mise à jour. Cette diminution est liée en partie à l’application des nouveaux principes directeurs que notre entreprise a adoptés afin de rendre compte des modalités de notre soutien financier à la recherche scientifique sur le bien-être.
Nous avons commencé à appliquer ces directives en février 2016 afin de définir plus précisément notre engagement sur ces questions. Le déploiement de ces nouvelles directives au sein de notre organisation est en cours.
Voici quels en sont les principes généraux :
Recherche scientifique sur le bien-être et engagement de tiers
The Coca‑Cola Company (y compris ses Fondations et les entreprises d’embouteillage de Coca‑Cola) n’accordera pas la totalité du financement d’un programme de recherche scientifique sur le bien-être, que ce soit directement ou par l’intermédiaire d’un tiers (notamment un syndicat professionnel). Elle pourra en revanche apporter son soutien financier à de tels programmes de recherche dans la mesure où une entité ne faisant pas partie de Coca‑Cola prend en charge au moins 50 % des frais de recherche. The Coca‑Cola Company ne versera pas non plus à un tiers une quelconque indemnité ou rémunération incitative, ni ne remboursera ses frais de déplacement, en vue de sensibiliser plus largement à un programme de recherche scientifique sur le bien-être. De plus, elle ne constituera pas la seule source de financement pour des programmes destinés à la communauté des professionnels de santé.
The Coca‑Cola Company annulera le financement de toutes les plateformes de santé ou de bien-être qui appartiennent à l’entreprise ou portent sa marque. Elle annulera et suspendra également son soutien au Beverage Institute of Health & Wellness, ainsi qu’aux programmes de promotion d’une vie saine et active (Active Healthy Living) partout dans le monde.
Étiquetage nutritionnel et informations nutritionnelles
Lorsqu’il n’existe aucune réglementation, les informations nutritionnelles sont fournies conformément aux Directives sur l’étiquetage nutritionnel du Codex Alimentarius (CAC/GL 2-1985).
Coca‑Cola fournit des informations nutritionnelles sur ses emballages conformément aux exigences réglementaires nationales. De plus, nos emballages fournissent des informations sur les calories (exprimées en kilocalories ou kilojoules), à l’exception des eaux en bouteille plates ou pétillantes non aromatisées et sans sucres, y compris l’eau minérale.
La quasi-totalité des pays fournissent une information nutritionnelle (kcalories) sur les emballages de nos boissons, conformément à nos exigences mondiales sur l’étiquetage nutritionnel en place depuis 2016.
En l’absence d’étiquetage nutritionnel sur l’emballage, celui-ci doit être fourni par d’autres moyens, notamment une information postée sur le site Internet de The Coca‑Cola Company.
Notre soutien aux activités dans les domaines de la nutrition et de l’activité physique
Voici la liste des différents projets soutenus par Coca‑Cola dans les domaines de la nutrition et de l’activité physique.
Nom du projet Type Organisme Montant Date
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat AIM Group International 14 615 € 2010
Participation aux activités scientifiques et de communication Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 16 800 € 2010
Mécénat pour un programme sur l'alimentation au sein des épiceries solidaires* Partenariat Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires 157 456 € 2010
Participation au programme court "Trop la pêche" Partenariat Association Nationale des Industries Alimentaires 15 000 € 2010
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 22 450 € 2010
Communication grand public en nutrition Partenariat DS Conseil 30 000 € 2010
Cotisation annuelle Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 85 300 € 2010
Participation aux Journées Nationales de Médecine Générale Partenariat GM Santé 29 612 € 2010
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit Partenariat Groupe Monteur 26 062 € 2010
Intervention aux Entretiens de Bichat Partenariat Institut Pasteur de Lille 2 000 € 2010
Participation aux entretiens de Bichat Partenariat Les Entretiens Médicaux 18 000 € 2010
Interventions en Nutrition Partenariat Nutritionnellement 10 000 € 2010
Réalisation de vidéos sur les boissons light diffusées sur le site Santélog Partenariat Santélog 14 000 € 2010
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport 12 600 € 2010
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 45 088 € 2010
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat AIM Group International 6 578 € 2011
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Association des Médecins de Club de Football Professionel 5 000 € 2011
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Association des Médecins de Montagne organisation 7 000 € 2011
Participation aux activités scientifiques et de communication Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 20 250 € 2011
Analyse des consommations de boissons à partir de l'étude CCAF 2010 Recherche Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie 43 500 € 2011
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 12 600 € 2011
Communication grand public en nutrition Partenariat DS Conseil 33 000 € 2011
Cotisation annuelle Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 35 300 € 2011
Participation aux Journées Nationales de Médecine Générale Partenariat GM Santé 27 830 € 2011
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit Partenariat Groupe Monteur 26 990 € 2011
Participation à un congrès scientifique Partenariat Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance 6 097 € 2011
Intervention au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes Partenariat Institut Pasteur de Lille 2 000 € 2011
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille Partenariat Institut Pasteur de Lille 3 500 € 2011
Participation aux Entretiens de Bichat pour l'Institut Européen de l'Hydratation Partenariat Les Entretiens Médicaux 35 400 € 2011
Interventions en Nutrition Partenariat Nutritionnellement 7 800 € 2011
Participation au Nutri-débat Partenariat Nutritionnellement 5 000 € 2011
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport 9 000 € 2011
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 56 888 € 2011
Réalisation de chroniques radios pour l'Institut Européen de l'Hydratation Partenariat Agence TamTam 36 800 € 2012
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat AIM Group International 1 794 € 2012
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Association des Médecins de Club de Football Professionel 5 000 € 2012
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Association des Médecins de Montagne organisation 10 000 € 2012
Participation aux activités scientifiques et de communication Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 27 642 € 2012
Mécénat pour un programme sur l'alimentation au sein des épiceries solidaires* Partenariat Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires 155 054 € 2012
Analyse des consommations de boissons à partir de l'étude CCAF 2010 Recherche Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie 1 500 € 2012
Analyse des consommations de boissons à partir de l'étude CCAF 2010 pour l'Institut Européen de l'Hydratation Recherche Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie 40 000 € 2012
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 12 600 € 2012
Communication grand public en nutrition Partenariat DS Conseil 23 100 € 2012
Mécénat pour un programme de formation de patients experts sur un mode de vie actif et équilibré* Partenariat Fédération Française des Diabétiques 232 582 € 2012
Cotisation annuelle Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 50 000 € 2012
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit Partenariat Groupe Monteur 27 609 € 2012
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille Partenariat Institut Pasteur de Lille 3 500 € 2012
Participation aux Entretiens de Bichat pour l'Association Internationale pour les Edulcorants Partenariat Les Entretiens Médicaux 22 000 € 2012
Interventions en Nutrition Partenariat Nutritionnellement 33 878 € 2012
Participation au Nutri-débat Partenariat Nutritionnellement 5 000 € 2012
Participation au Congrès de Médecine Générale de France Partenariat Overcome 21 500 € 2012
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport 9 750 € 2012
Réalisation d'une communication sur l'hydratation pour l'Institut Européen de l'Hydratation Partenariat System media 45 360 € 2012
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 57 120 € 2012
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat AIM Group International 4 186 € 2013
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Association des Médecins de Club de Football Professionel 5 000 € 2013
Participation aux activités scientifiques et de communication Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 15 617 € 2013
Participation au programme court "Trop la pêche" Partenariat Association Nationale des Industries Alimentaires 7 500 € 2013
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 25 600 € 2013
Communication grand public en nutrition Partenariat DS Conseil 46 200 € 2013
Cotisation annuelle Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 50 000 € 2013
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit Partenariat Groupe Monteur 28 347 € 2013
Communications scientifiques sur les consommations de boissons en France pour l'Institut Européen de l'Hydratation Partenariat Institut Pasteur de Lille 2 700 € 2013
Soutien de la participation de l'Institut Européen de l'Hydratation aux Entretiens de Bichat Partenariat Les Entretiens Médicaux 28 000 € 2013
Interventions en Nutrition Partenariat Nutritionnellement 23 450 € 2013
Participation au Nutri-débat Partenariat Nutritionnellement 5 000 € 2013
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport 15 500 € 2013
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 57 244 € 2013
Mécénat pour le projet Booster* Partenariat Unis-Cités 195 733 € 2013
Mécénat pour le développement d'un programme de promotion d'un mode de vie sain et actif auprès d'étudiants* Partenariat Université de Poitiers 228 104 € 2013
Réalisation de chroniques radios pour l'Institut Européen de l'Hydratation Partenariat Agence TamTam 19 000 € 2014
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat AIM Group International 12 407 € 2014
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Association des Médecins de Club de Football Professionel 5 000 € 2014
Participation aux activités scientifiques et de communication Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 10 700 € 2014
Mécénat pour le projet Sport, Santé Bien-être* Partenariat Centre National pour le Développement du Sport 508 617 € 2014
Participation au congrès annuel (conférence sur l'hydratation) Partenariat Club des Cardiologues du Sport 6 000 € 2014
Partenariat annuel Partenariat Comité National Olympique et Sportif Français 150 000 € 2014
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 25 600 € 2014
Communication grand public en nutrition Partenariat DS Conseil 24 000 € 2014
Cotisation annuelle Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 50 000 € 2014
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit Partenariat Groupe Monteur 30 337 € 2014
Communications scientifiques sur les consommations de boissons en France pour l'Institut Européen de l'Hydratation Partenariat Institut Pasteur de Lille 11 300 € 2014
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille Partenariat Institut Pasteur de Lille 4 000 € 2014
Partenariat annuel avec la marque Powerade Partenariat Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport 12 000 € 2014
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 57 512 € 2014
Mécénat pour le projet Booster* Partenariat Unis-Cités 179 512 € 2014
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat AIM Group International 15 393 € 2015
Participation aux activités scientifiques et de communication Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 26 755 € 2015
Mécénat pour le projet Sport, Santé Bien-être* Partenariat Centre National pour le Développement du Sport 610 309 € 2015
Partenariat annuel Partenariat Comité National Olympique et Sportif Français 150 000 € 2015
Projet de recherche sur les édulcorants intenses Recherche CreaBIO 279 798,67 € 2015
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 25 600 € 2015
Communication grand public en nutrition Partenariat DS Conseil 36 000 € 2015
Participation au congrès annuel de l'Association des Maires de France pour présentation du programme Le Sport Ca Me Dit Partenariat Groupe Monteur 17 281 € 2015
Participation aux Ateliers de Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille Partenariat Institut Pasteur de Lille 4 500 € 2015
Participation au colloque Alimentation et Bien être Partenariat Institut Polytechnique LaSalle Beauvais 10 200 € 2015
Interventions en Nutrition Partenariat Nutritionnellement 13 200 € 2015
Participation au Nutri-débat Partenariat Nutritionnellement 6 000 € 2015
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 57 316 € 2015
Mécénat pour le projet Booster* Partenariat Unis-Cités 233 353 € 2015
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 5 850,00 € 2016
Participation au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 12 600,00 € 2016
Participation de la marque Powerade au congrès commun de la Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport et de la Société Française de Traumatologie du Sport Partenariat Eventime Group 6 419,00 € 2016
Expérimentation Etiquetage Nutritionnel Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 80 000,00 € 2016
Cotisation annuelle Partenariat Fond Français pour l'Alimentation et la Santé 70 000,00 € 2016
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 27 742,00 € 2016
Mécénat pour le projet Booster* Partenariat Unis-Cités 235 290,00 € 2016
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes Partenariat Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 5 958.00€ 2017
Insertion mallette au congrès Diétecom Partenariat Dietecom 4 000,00 € 2017
Interventions en Nutrition Partenariat Nutritionnellement 10 280,00 € 2017
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 27 742,00 € 2017
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 31 220 € 2018
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionistes Partenariat Association Française de Diététiciens Nutritionistes 5 850 € 2018
Cotisation annuelle Partenariat Fonds Français pour l'Alimentation et la Santé 75 000 € 2018
Projet de recherche sur les édulcorants intenses Recherche Institute for European Expertise in Physiology (IEEP) 719 200 € 2010-2014
Projet de recherche sur la consommation de sucres Recherche International Prevention Research Institute (IPRI) 690 000 € 2013-2014
Projet de recherche sur les édulcorants intenses Recherche CreaBIO 653 798,33 € 2014-2015
Partenariat pour deux ans avec la marque Powerade Partenariat Société Française de Médecine de l'Exercice et du Sport 24 000 € 2015-2016
Création d'un terrain multisports dans le cadre du Move My City Challenge (Lille) Partenariat Fédération Française de Football 182 000 € 2016-2018
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits 29 700€ 2019
Participation au congrès de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes Partenariat Association Française de Diététiciens Nutritionnistes 6 030€ 2019
Etude sur les minéraux au sein de la population française Recherche Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie 3 000€ 2019
Cotisation annuelle Partenariat Union Nationale Interprofessionnelle des Jus de Fruits €28 684 2020
€7 856 260,00
Pour consulter nos questions les plus fréquentes, cliquez ici
* Indique le financement de la Fondation Coca‑Cola.
Nous avons essayé, en toute bonne foi de contacter et d’obtenir l’accord de toutes les organisations avec lesquelles nous avons travaillé. Certaines des organisations avec lesquelles nous avons travaillé n’ont pas souhaité que soit communiqué le montant des financements que nous leur avons apporté. Le financement total de ces organisations est de 55 000 €
Nous travaillons également avec des organisations qui ne sont pas basées en France, comme par exemple l’Association Internationale pour les Edulcorants (ISA). Pour plus d’informations, n'hésitez pas à consulter le site internet.
Conformément aux règles déontologiques en matière de recherche scientifique, nous veillons à ce que les critères suivants soient appliqués aux recherches que nous soutenons financièrement. Les chercheurs :
· doivent mener des recherches factuelles, transparentes, de façon objective ;
· doivent générer une hypothèse formulée de façon appropriée et mener des recherches répondant à des questions pertinentes, avoir une maîtrise totale de la conception et de la réalisation de l'étude, et du recueil, de l'analyse et de l'interprétation des données ;
· sont encouragés à publier ; et
· doivent révéler leurs sources de financement dans toutes les publications et présentations publiques des données.
Dans cette liste, les partenariats et les activités de recherche comprennent :
1. Les soutiens financiers apportés par The Coca‑Cola Company, ses filiales, ou la Fondation Coca‑Cola aux organisations basées en France et principalement centrées sur la France, pour des recherches sur l’alimentation, la nutrition et la santé, ou l'activité physique.
2. Les soutiens financiers apportés par The Coca‑Cola Company, ses filiales, ou la Fondation Coca‑Cola aux organisations basées en France pour des programmes de santé et de nutrition ou de bien-être et des activités de communication en France.
Dans cette liste, les partenariats et les recherches ne comprennent pas :
1. Les fonds accordés par The Coca‑Cola Company, ses filiales ou la Fondation Coca‑Cola aux entités situées hors de France.
2. Les fonds accordés exclusivement par nos partenaires embouteilleurs de The Coca‑Cola Company (les activités à financement mixte seront énumérées en excluant la partie du budget financée par les partenaires embouteilleurs de The Coca‑Cola Company).
3. Les recherches sur les nouveaux ingrédients, l'emballage, les produits ou les marques.
4. Les recherches sur les ingrédients, les emballages, les produits ou les marques qui ne sont pas liés à l’alimentation, à la nutrition et à l’activité physique.
5. Les versements à destination de fournisseurs de services tiers pour les services médiatiques, publicitaires et logistiques, en soutien aux partenariats pour les programmes de santé et de bien-être et les activités de communication mentionnés.
6. Les versements de moins de 500 euros sur une base globale annuelle.
Nous utilisons le terme « partenariat » dans un sens informel, en faisant référence à notre relation avec les entités basées en France et ayant reçu des fonds de The Coca‑Cola Company, de ses filiales ou la Fondation Coca‑Cola afin de soutenir leurs programmes dans les domaines de la nutrition et de l’activité physique et les activités de communication menées de 2010 à 2020.
Période : du 1er janvier 2010 au 30 septembre 2020.
Devise : tous les montants sont présentés en euros hors TVA. Quand des financements ont été alloués avec d’autres devises que l’Euro, nous avons utilisé un taux de conversion moyen annuel correspondant à l’année de paiement.
La présente liste sera susceptible d’être mise à jour ultérieurement, à l’occasion de mises à jour que nous prévoyons de publier une fois par an.
Nous avons d'abord lancé en 2010 le programme Elles@Coke dédié aux femmes managers et s’inscrivant dans le programme international chez The Coca‑Cola Company : “Women Leadership Council” qui contribue à promouvoir les femmes à de plus hautes fonctions de l’entreprise.
En 2016, il devient WoMen@Coca‑Cola avec pour objectif de porter haut les valeurs de mixité afin de la faire progresser au sein du système Coca‑Cola en France.
En effet, au siège de Coca‑Cola France à Issy-les Moulineaux, la parité est de rigueur. Si la marque s'engage pour les femmes en France ou dans le monde, elle apporte également une attention toute particulière à ses salariées.
Coca‑Cola s'engage à être un partenaire crédible dans la lutte contre l'obésité. Nous comprenons que les gens ont des questions sur notre soutien à la recherche scientifique lié au bien-être, aux partenariats, aux professionnels de la santé et aux experts scientifiques. C’est pourquoi, depuis 2016, nous nous sommes engagés à publier des mises à jour annuelles sur les financements et le soutien que nous apportons à certains partenariats et programmes de recherche scientifique sur la santé et le bien-être ainsi que sur notre soutien à des professionnels de santé et experts scientifiques avec lesquels nous avons travaillé depuis 2010. Bien que nous ayons toujours été transparents sur le financement de la recherche et le soutien que nous apportons aux organisations liées à la nutrition et à la santé, ce site permet de rendre l’information accessible à chacun. Nos pages sont mises à jour tous les ans.
Ainsi, notre investissement total actualisé dans les activités de recherche scientifique et de partenariat entre le 1er janvier 2010 et le 30 septembre 2020 est de 7 856 260€. Vous pourrez trouver la liste complète ici. ainsi que la liste des experts avec lesquels nous avons travaillé.
Vous remarquerez que sur cette déclaration, la liste des investissements se réduit. Cela s’explique en effet par la mise en place de nouveaux principes directeurs que nous avons commencé à mettre en œuvre début 2016. Ils définissent les principes de notre soutien financier en faveur des partenariats et programmes de recherche scientifique sur le bien-être. Ces principes directeurs nous servent de feuille de route concernant les partenariats et les programmes de recherche scientifique sur le bien-être.
Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à consulter notre Questions/Réponses ici.
RESTITUTION
Q. Quel est l’objectif de Coca‑Cola en matière de restitution d’eau ?
R. En 2007, Coca‑Cola s’est donné pour objectif de restituer l’intégralité de l’eau utilisée dans son processus de production de boissons à l’horizon 2020.
Q. Comment Coca‑Cola définit-elle la restitution de l’eau ?
R. Coca‑Cola définit la restitution de l’eau comme le fait de rendre aux communautés et à la nature un volume d’eau équivalent à celui utilisé dans la production de ses boissons, c’est à dire l’eau entrant dans la composition des produits ainsi que celle utilisée au cours du processus de fabrication.
Q. Comment Coca‑Cola gère-t-elle l’eau de façon responsable ?
R. Nous restituons l’eau de deux façons : par le traitement des eaux usées et la conduite de projets communautaires qui s’attèlent à répondre aux besoins en eau dans une communauté donnée, depuis l’accès à l’eau potable à la conservation et la protection des bassins hydrologiques, en passant par la production.
Q. Quelle quantité d’eau Coca‑Cola utilise-t-elle chaque année et quelle quantité restitue-t-elle ?
R. En 2015, Coca‑Cola a utilisé près de 300,19 milliards de litres d’eau soit 5 milliards de litres d’eau de moins qu’en 2014, et nous avons restitué 337,7 milliards de litres aux communautés et à la nature.
Voici la répartition de ce que nous utilisons et comment nous le restituons :
- Environ 149,09 milliards de litres d’eau sont utilisés dans nos procédés de fabrication.
La politique de l’entreprise (en vigueur dans l’ensemble du système The Coca‑ColaCompany et ses embouteilleurs) consiste à traiter correctement l’eau grâce à un système de traitement des eaux usées avant toute restitution dans la nature, conformément aux exigences locales et aux critères de protection de la vie aquatique.
- Les 151,1 milliards de litres d’eau restants entrent dans la composition de nos boissons. Nous restituons au minimum cette quantité d’eau par le biais de nos projets communautaires dans le secteur de l’eau dans des pays et territoires où les besoins en eau sont avérés et où nous disposons des ressources et des partenariats nécessaires pour exercer une influence durable.
Ces projets sont établis en fonction des besoins locaux et concernent l’accès à l’eau potable, le reboisement, la collecte des eaux de pluie ou encore la micro-irrigation, entre autres programmes locaux ciblés.
Q. L’objectif de restitution porte-t-il sur l’eau utilisée pour les boissons des fontaines ou uniquement pour les bouteilles ?
R. Notre objectif de restituer l’eau aux populations et à la nature concerne effectivement l’intégralité de l’eau utilisée dans notre volume global de vente ainsi que dans nos procédés de fabrication ; cela inclut l’eau utilisée pour les boissons des fontaines sur les sites de nos clients.
Q. Comment Coca‑Cola évalue-t-elle sa restitution d’eau pour son volume global de vente ?
R. Nous mesurons les volumes d’eau restitués en nous basant sur les projets qui nous permettent de réintroduire l'eau auprès des communautés et dans la nature afin qu’elle soit réutilisée. Ces projets concernent l’accès à l’eau potable, la restauration des bassins hydrologiques ou leur reconstitution, ainsi que la collecte des eaux de pluie, parmi d'autres programmes locaux ciblés. Le volume d’eau (mesuré en litres) est alors calculé par rapport au volume de nos ventes de boissons sur une année donnée. Ainsi, en 2015, nos ventes de boissons ont représenté 166 milliards de litres et nos projets de restitution ont permis de réintroduire 191,9 milliards de litres d’eau auprès des communautés et dans la nature.
Coca‑Cola tient exclusivement compte du volume restitué par les projets communautaires et/ou environnementaux. Plus de 500 projets hydrologiques sont déployés auprès des communautés, mais près de 300 d’entre eux sont axés sur les infrastructures hydrologiques, la politique de l’eau, l’assainissement ou les programmes pédagogiques. Si les projets de ce type répondent à un besoin important, ils n’apportent pas pour autant de bénéfices directs dans le domaine de l’eau ; par conséquent, nous ne les prenons pas en compte lors de nos calculs de restitution. En 2015, 248 projets déployés dans 71 pays ont représenté 115 % d’eau restituée. Nous ne calculons les crédits de restitution que pour les parties des projets directement financées ou déployées par le système Coca‑Cola. C'est la raison pour laquelle nous n’acceptons pas de crédits de restitution pour des actions financées uniquement par nos partenaires.
Q : Comment Coca‑Cola effectue-t-elle et vérifie-t-elle ses calculs en matière d’eau ?
R : The Nature Conservancy, en partenariat avec LimnoTech, Deloitte et la Global Environment & Technology Foundation, nous aide à calculer le volume d’eau que nous avons restitué en suivant une approche qui repose sur des outils et des méthodologies scientifiques et techniques généralement acceptés. Cet examen indépendant évalué par des pairs a conclu que les outils et les méthodes utilisés pour évaluer les actions de Coca‑Cola en matière de restitution de l’eau étaient recevables.
Nous nous fondons sur les rapports de nos bureaux Coca‑Cola locaux – dont la plupart participent aux projets - afin de surveiller et d'évaluer les projets au fil du temps. En collaboration avec d’autres partenaires extérieurs, ils transmettent un rapport au siège de Coca‑Cola fournissant des données détaillées sur chaque projet. Les projets doivent être vérifiés une fois le projet clôturé, une année plus tard, puis au moins tous les deux ans, tant que nous continuerons à rechercher des crédits de restitution. Nous travaillons également avec des experts extérieurs afin de mettre au point des critères de fin de projet (à savoir, pendant combien de temps pouvons-nous rechercher des crédits pour un projet donné, quelle que soit son statut en matière d’avantages pour les populations ou la nature).
Q. Quand vous « restituez » l’eau, la rejetez-vous dans les sources utilisées par vos usines de mise en bouteille ?
R. La réponse est : parfois. Sur chacun de nos sites de fabrication, nous puisons de l’eau à partir de sources locales – soit par le biais de canalisations depuis les réseaux municipaux (qui puisent leur eau dans les rivières, les lacs, les réservoirs et la nappe phréatique) jusqu’à nos usines, soit par l'extraction directe des eaux souterraines ou des eaux de surface (dans certains cas nous recueillons aussi l’eau de pluie et, à certains endroits, l’eau de mer) assurée par nos opérations.
Nous utilisons cette eau dans nos procédés de fabrication (tels que le nettoyage des réservoirs de mélange ou bien les tours de refroidissement) ainsi que pour la production de nos boissons. Nous avons amélioré notre efficacité hydrique pour la treizième année consécutive, avec une réduction totale de l’utilisation de l’eau de 27 % par litre de produit fabriqué depuis 2004. L’eau quitte l'usine de deux façons différentes : un peu plus de la moitié de l’eau (en moyenne) finit dans nos produits, le reste est destiné aux activités de nettoyage et aux procédés de fabrication.
Notre politique de gestion de l’eau impose que l’eau restante non présente dans nos produits soit correctement traitée conformément à la loi en vigueur et permette d’accueillir la vie aquatique même si la réglementation locale ne l’exige pas, avant d’être ensuite déversée soit directement dans l’environnement (bassins hydrologiques) soit via les réseaux municipaux. Dans un cas comme dans l'autre, l’eau se retrouve finalement dans l’environnement local. Dans la plupart des cas, cette pratique restitue près de la moitié de l’eau que nous utilisons à sa source d’origine.
L’eau restante se trouve dans nos produits et c’est ce volume de vente de boissons finies que nous tentons de restituer par le biais de projets communautaires dans le domaine de l’eau. En fonction des faiblesses et des besoins locaux, nous travaillons avec des partenaires afin de sélectionner les projets présentant les plus forts avantages et impacts potentiels sur les bassins hydrologiques, les populations et les conditions de vie. Certains projets incluent des actions qui ne peuvent pas être quantifiées en termes de restitution mais qui demeurent néanmoins importantes pour certaines populations. Nous les mettons donc en œuvre également. La collaboration avec les autorités locales afin de sensibiliser les ménages sur une utilisation efficace de l’eau et sur les méthodes d'assainissement constituent de bons exemples.
Certains projets de restitution rendent directement à la source l’eau que nous utilisons, alors que d’autres sont situés en dehors des bassins hydrologiques utilisés par notre usine ; ils sont néanmoins importants pour contribuer à répondre aux besoins urgents des autorités locales, des populations et des partenaires. Nous recherchons des projets qui présentent un bénéfice direct, peuvent être étendus pour toucher un plus grand nombre de personnes et de zones d'un écosystème, dont il est facile de tirer des enseignements ou qu’il est aisé de reproduire sur des sites présentant des difficultés comparables. Nous prêtons également une grande attention à nos projets de restitution où les besoins sont élevés ainsi qu’aux régions dans lesquelles nous avons identifié des risques par le biais de nos Évaluations de vulnérabilité des sources (Source Vulnerability Assessments, SVA – voir plus bas).
Vous vous posez peut-être encore des questions concernant les usines où nous ne restituons pas la totalité de l’eau que nous utilisons à sa source d’origine. Dans chacune de nos usines, nous demandons à nos opérations de déterminer la durabilité de l’approvisionnement en eau que nous partageons avec d’autres acteurs, en matière de qualité, de quantité et d’autres variables telles que les infrastructures de traitement et de distribution de l’eau (nous appelons cela une SVA).
Lors des SVA, les usines doivent d’abord démontrer que leur utilisation et leur évacuation de l’eau n’exercent pas d’impact négatif sur la capacité des autres acteurs à accéder à une quantité et à une qualité d’eau suffisantes. Il s’agit d’une approche « inoffensive » basée sur le droit. Mais, même dans ce cas, certaines sources d’eau peuvent rester vulnérables dans une certaine mesure. Notre exigence impose alors le développement et la mise en place par chaque usine d'un Plan de protection des sources d’eau (Source Water Protection Plan) afin de mobiliser les autres acteurs pour rechercher ensemble des solutions. Cela peut aboutir pour nous à des projets de restitution ou à d’autres opportunités.
Bien que chaque usine ne restitue pas forcément la totalité de l’eau à sa source directe, toutes les usines veillent à ne pas avoir d’incidence négative sur les sources d’eau et à travailler avec la population sur des solutions à plus long terme.
Q. Pourquoi votre programme de restitution ne couvre-t-il pas l’eau présente dans vos produits issue de la culture et du traitement de vos ingrédients agricoles (vos études ont montré qu’une grande partie de votre empreinte hydrique totale concerne les cultures) ?
R. Nous œuvrons en faveur d'une durabilité exceptionnelle des ressources en eau dans nos activités directes ainsi qu’au sein de notre chaîne d’approvisionnement des ingrédients agricoles. Il existe des différences significatives entre ces divers aspects de notre chaîne de valeur notamment notre niveau de contrôle et d’influence, l’ampleur de l'utilisation de l’eau, la géographie et le cadre (principalement urbain pour nos usines et rural pour l’agriculture), les modèles financiers et les incitations financières, ainsi que la réglementation.
Ces différences nécessitent la mise en place de stratégies distinctes pour atteindre le même objectif : la durabilité des ressources en eau.
En ce qui concerne nos usines, nous agissons directement au sein de notre entreprise. Pour nos ingrédients agricoles, nous intervenons au travers de notre chaîne d’approvisionnement. Notre relation débute avec nos fournisseurs directs mais, dans la plupart des cas, ces derniers ne sont pas cultivateurs (producteurs, agriculteurs), ni même transformateurs (à l'instar d’une raffinerie de sucre). Tout comme vous achetez de la nourriture à l'épicerie du coin ou dans un restaurant qui font appel à des fournisseurs s’approvisionnant auprès d'agriculteurs, nos fournisseurs constituent également un maillon de la chaîne qui va de la ferme à l’assiette (ou à la bouteille, en ce qui nous concerne).
Par conséquent, nous devons travailler tout au long de notre chaîne d’approvisionnement afin de garantir une utilisation responsable de l’eau par les agriculteurs pour produire les ingrédients que nous utilisons. Nous avons fait part des attentes de notre Compagnie en matière de pratiques pour une agriculture durable dans nos Directives pour une Agriculture durable (SAGP, Sustainable Agriculture Guiding Principles). La gestion des ressources en eau, notamment l'efficacité, le contrôle de la pollution, ainsi que la durabilité des sources d’eau, constituent des éléments essentiels des SAGP.
Au cours des trois dernières années, nous nous sommes mobilisés activement aux côtés de nos principaux fournisseurs pour porter les SAGP, ou d'autres directives équivalentes, à la connaissance des agriculteurs. La mise en œuvre de ces directives dans l’agriculture impose de mobiliser les agriculteurs, afin d'assurer une meilleure compréhension de leur part et d’amorcer une modification en profondeur de leurs comportements, qui peuvent ensuite être auditées et vérifiées. La route est longue pour y parvenir et nous avons déjà accompli de nombreux progrès, surtout en ce qui concerne le thé, le café, le citron vert et le sucre, mais il reste encore beaucoup à faire.
En résumé, nous œuvrons aussi bien dans l’agriculture que dans nos activités directes en faveur d’indicateurs et d’objectifs de durabilité. Nous utilisons diverses approches pour gérer les réalités et les besoins de business models extrêmement différents.
Q. Faites-vous appel à des intervenants extérieurs pour analyser et évaluer vos progrès en matière de restitution ?
R. Oui nous sous-traitons ce service, comme le ferait n'importe quel particulier ou entreprise. Nous payons un prix raisonnable, conforme à ceux habituellement pratiqués, pour ce type de services : analyse des données, évaluation des programmes et des projets, et vérification de l’exactitude des informations. Nous faisons appel à des intervenants extérieurs reconnus, qui font preuve d’impartialité dans leurs analyses et fournissent des commentaires argumentés sur notre travail et les progrès accomplis.
Q. Pensez-vous que toutes les entreprises devraient agir en faveur d'une restitution de leur eau ?
R. Nous pensons que toutes les entreprises devraient s'attacher à comprendre leur utilisation de l’eau, l’origine de l'eau qu'elles utilisent et les risques existants entre l’utilisation de l’eau et les réserves disponibles.
Les entreprises, notamment, devraient se concentrer en priorité sur l’utilisation de l’eau dans leurs activités directes en commençant par quantifier leur utilisation d’eau, puis œuvrer pour une meilleure efficacité, et enfin garantir que leurs rejets des eaux usées et des eaux pluviales n’exercent pas d'impact négatif sur l’environnement. Une fois ces fondements mis en place, les entreprises devraient étudier ce qui se passe à l’extérieur, dans les bassins hydrologiques qu’elles partagent, en amont de leur chaîne d’approvisionnement afin de comprendre comment chaque acteur prend en charge sa gestion de l’eau, et en aval où les biens et services sont utilisés par d’autres intervenants. Tous les éléments de cette chaîne de valeur utiliseront de l’eau et seront probablement confrontés à certains défis.
Une entreprise peut donc tenir compte des risques et des opportunités que ces défis présentent et développer une stratégie globale pour les relever.
Notre programme de restitution concerne le volume de vente de nos produits finis. Il s’agit là, pour l'essentiel, de notre utilisation consommatrice d'eau. Pour sa part, l’eau non contenue dans nos produits est traitée puis rejetée dans l’environnement local. D’autres entreprises estimeront sans doute qu’apporter une solution à leur utilisation consommatrice, aussi bien en termes de qualité que de quantité, constitue une façon puissante et simple de motiver leurs équipes, d’effectuer des progrès et d’évaluer l’impact positif de leurs actions.
Q. Pourquoi travaillez-vous avec des partenaires et comment les sélectionnez-vous ?
R. Lorsque nous sortons de nos activités directes pour nous atteler aux défis de l’eau, nous entrons dans un environnement partagé. L’eau constitue le bien commun par excellence et, quel que soit l’endroit, tous les utilisateurs de l'eau se partagent les mêmes ressources et doivent assumer conjointement une gestion responsable. Ainsi, nous devons collaborer avec ces utilisateurs de l’eau, notamment les ONG et les autres organisations de la société civile intéressées par l’eau. Nous devons non seulement collaborer mais nous voulons collaborer car nous considérons qu’une action collective permet d'exercer un impact plus important.
Ces partenariats débutent toujours avec les populations et les autorités locales. Toutes deux jouent un rôle essentiel dans la réussite de projets de ce type liés à l’eau.
Au moment de choisir de nouveaux partenaires, nous regardons ceux qui offrent des perspectives différentes, le savoir-faire nécessaire, et/ou des ressources complémentaires. Que ces partenaires soient d’autres secteurs industriels, des entreprises commerciales, des agriculteurs, des universitaires, des organismes d’aide et de développement, ou bien des ONG, nous recherchons ceux qui s'attachent à relever les défis locaux et s'engagent en faveur de solutions à long terme.
Q. Pourquoi Coca‑Cola ne restitue-t-elle pas l’eau dans les mêmes quantités que celles prélevées ?
R. Nous restituons aux populations la quasi-totalité de l’eau que nous utilisons dans notre processus de production après l’avoir nettoyée. Toutefois, l’eau que nous restituons aux populations et à la nature dans le cadre de ces projets hydrologiques communautaires est dirigée vers les régions qui en ont le plus besoin et, à cet effet, nous avons instauré des partenariats qui veillent au déploiement des programmes de durabilité.
Q. Comment les efforts de restitution de l’eau par Coca‑Cola vont-ils évoluer maintenant que la Compagnie a atteint son objectif de 2020 ?
R. Bien qu'atteint, notre objectif de restitution de l’eau que nous utilisons en tant que système ne prend pas fin. Nos efforts en matière de durabilité sont constants. En dépit de la croissance de nos activités, nous entendons continuer à travailler pour restituer 100 % de l’eau que nous utilisons dans nos boissons et pour leur production. Ainsi, nous devrons chaque année continuer à compenser les milliards de litres d’eau que nous utilisons via le traitement des eaux usées et les projets de restitution que nous déployons à travers le monde. Maintenir un taux de restitution de 100 % constitue une priorité pour notre Compagnie et nos partenaires embouteilleurs.
Q. Que devient l’eau utilisée par Coca‑Cola dans ses procédés de fabrication ?
R. La politique de la Compagnie (en vigueur dans l’ensemble du système Coca‑Cola) consiste à traiter correctement l’eau dédiée à la fabrication via un système de traitement des eaux usées avant de la rejeter dans la nature, conformément à nos normes internes, aux lois et règlementations locales et aux exigences imposées par la protection de la vie aquatique. À titre d’exemple, en 2015, Coca‑Cola a utilisé environ 300,19 milliards de litres d’eau pour fabriquer 151,1 milliards de litres de produits, consommés par les personnes qui les ont achetés.
Les 149,09 milliards de litres d’eau restants ont été utilisés dans nos processus de fabrication et, sur ce volume, 145,8 milliards de litres d’eau ont été nettoyés via un système de traitement des eaux usées et rendus à la nature. Les litres d’eau restants se sont évaporés (vapeur ou tours de refroidissement par exemple) ou bien n'ont pas été traités ni restitués dans le cas des usines qui procèdent toujours actuellement à la mise en place de leurs propres systèmes de traitement des eaux usées. À l'exception de 10 usines, l'ensemble de nos sites de mise en bouteille sont parfaitement conformes aux normes de traitement des eaux usées de la Compagnie.
Q. Pourquoi certaines de vos usines ne respectent-elles pas vos normes en matière de traitement des eaux usées ?
R. Nos normes en matière de traitement des eaux usées dépassent les exigences légales en vigueur dans certaines juridictions, et les nouvelles technologies et infrastructures nécessaires pour répondre aux critères internes de la Compagnie peuvent s’avérer extrêmement coûteuses et par conséquent être plus longues à mettre en place pour certains sites de mise en bouteille.
Nous nous efforçons d’encourager notre industrie dans ses efforts de durabilité. C’est la raison pour laquelle nous avons défini un objectif applicable à l’ensemble de notre système, pour permettre à nos usines de répondre à des normes strictes. À ce jour, 853 de nos 863 usines on atteint cet objectif important. Pour ce faire, un grand nombre de nos usines d’embouteillage ont dû adopter des procédés et une technologie de traitement complet des eaux usées au sein même de nos installations. Cela constitue un engagement considérable et un investissement d’environ 1 milliard de dollars pour l’ensemble de notre système.
Notre capacité à moderniser nos installations a été légèrement retardée dans certaines régions du monde confrontées à des conflits et d'autres défis d'ampleur nationale. En 2015, nous comptions 10 usines non conformes, mais nous avons pu travailler avec ces 10 usines afin de garantir qu’elles fonctionnaient au maximum de leurs capacités au vu des défis locaux auxquels elles étaient confrontées. Chacune d’elles a débuté le processus d’adoption des normes et de modernisation des systèmes, et nous poursuivons nos efforts pour garantir que l’ensemble de nos installations soit à même de répondre à nos critères élevés.
Q. Si vous prélevez de l’eau dans une ville (eau déjà traitée et purifiée), la restituez-vous à cette communauté dans les mêmes conditions ? (Cette eau est-elle adaptée à la consommation humaine ?)
R. La politique de la Compagnie consiste à restituer à la nature et aux populations l’intégralité de l’eau que nous utilisons dans nos procédés de fabrication conformément aux lois et règlementations locales ainsi qu’à nos propres normes de traitement. Au minimum, l’intégralité de l’eau que nous restituons doit être capable d’accueillir la vie aquatique. Grâce à notre procédé de traitement, les eaux usées sont soit traitées intégralement sur site, soit acheminées vers une station de traitement des eaux usées municipale ou nationale dotée d'un système de traitement secondaire. Presque toutes nos usines disposent de systèmes de traitement des eaux usées ultra-modernes qui traitent l’eau que nous utilisons.
Q. Maintenant que vous avez atteint votre objectif, avez-vous terminé votre travail ?
R. Non. Nous nous sommes engagés en faveur d’une gestion responsable de l’eau et avons l’intention de poursuivre nos efforts de restitution. Nous continuerons de travailler pour atteindre nos autres objectifs de gestion de l’eau tout en nous attachant en permanence à renforcer nos performances.
Le fait d’avoir restitué 115 % de l’eau ne signifie pas pour autant que notre travail est terminé. L’eau constitue le premier ingrédient de nos produits, et nous entendons poursuivre l'avancement des projets relatifs à l’eau. Non seulement l’eau est essentielle pour la pérennité de nos activités et celles de nos partenaires embouteilleurs, mais elle revêt la même importance fondamentale pour les populations des régions où nous sommes actifs.
Pour garantir la disponibilité à long terme de cette ressource vitale aussi bien pour le monde au sens large que pour nos activités, nous disposons d’un solide programme de gestion de l’eau qui inclut une approche formelle des programmes responsables de gestion des risques liés à l'utilisation de l’eau.
Q. Comment pouvons-nous être certains que vous avez atteint votre objectif et que les résultats que vous rapportez son exacts ?
A. Nous prenons très au sérieux nos efforts de restitution de l’eau et nous valorisons la transparence. Lorsque nous avons fixé notre objectif de restituer d'ici à 2020 l’intégralité de l’eau utilisée dans nos boissons et pour leur production aux populations et à la nature, nous avons déployé de nombreux efforts pour vérifier l'exactitude des chiffres que nous communiquons. C'est la raison pour laquelle nous avons demandé à des auditeurs externes de vérifier ces résultats. The Nature Conservancy, en partenariat avec LimnoTech, Deloitte et la Global Environment & Technology Foundation, nous aide à calculer le volume d’eau que nous avons restitué en suivant une approche qui repose sur des outils et des méthodologies scientifiques et techniques généralement acceptés. Cet examen indépendant par des pairs a conclu que les outils et les méthodes utilisés pour évaluer les actions de Coca‑Cola en matière de restitution de l’eau étaient recevables.
Q. Restituez-vous à 100 % dans chaque région où vous êtes présents ?
R. Non. Notre résultat en matière de restitution de l’eau se fonde sur l’intégralité des travaux de restitution dans le monde. Nous restituons à 100 %, voire au-delà, dans 12 de nos 18 business units. Par ailleurs, dans plusieurs pays (Brésil, Mexique, Inde, Chine), nous restituons à 100 % ou au-delà. Dans d’autres marchés, nous travaillons toujours pour atteindre notre objectif 2020 de restitution de 100 % de l’équivalent d’eau que nous reversons aux populations et à la nature, et nous sommes en bonne voie d’y parvenir.
Deux de nos business units sont extrêmement engagées en faveur de la restitution de l’eau, mais sont confrontées à de nombreux défis en raison de conflits et de problèmes géopolitiques et sociaux.
Les projets de restitution sont choisis en fonction des faiblesses identifiées via notre programme de risque, des demandes formulées par des populations locales, et des régions où nous disposons des partenariats et des ressources locales nécessaires pour mettre au point et poursuivre des programmes de durabilité.
Concernant certaines business units où nous n'avons pas atteint 100 %, la Compagnie s’efforce de restituer l’eau dans des régions clés où la pénurie d’eau est la plus élevée.
Q. Pourquoi la Business Unit Europe de l'Ouest indique-t-elle seulement 32 % de restitution d’eau ?
R. Ce résultat s'explique par deux raisons : l’emplacement géographique et l’organisation de l’entreprise.
Jusqu’à 2015, nos activités européennes étaient organisées au sein d’un groupe Europe unique et travaillaient sur une seule feuille de route pour atteindre une restitution de 100 % sur tout le territoire, avec une priorité accordée aux régions confrontées à des pénuries d’eau ou aux zones présentant un écosystème de haute valeur. C’est la raison pour laquelle un grand nombre d'efforts de restitution se concentrent sur la Grèce et les îles méditerranéennes ainsi que sur la région du Danube. Lorsque le groupe a été divisé en deux business units distinctes, ce travail a été confié au territoire de l’Europe de l’Est et du Centre, qui peut désormais afficher un volume de restitution de 127 %.
En révisant sa feuille de route concernant la restitution, l'Europe de l'Ouest poursuit sa politique visant à se concentrer sur des zones connaissant une pénurie d’eau, sur des régions à forte valeur environnementale et sur les opportunités de réduction de la pollution issue de l’agriculture. C'est pourquoi la plupart des projets de restitution en Europe de l’Ouest sont situés en Espagne, dans le Sud de la France, en Camargue, dans le Nord de la Belgique et dans les régions du centre de la Grande-Bretagne.
En 2015, cette approche a permis d’atteindre une valeur de restitution de 32 % du volume total des ventes de boissons sur l'ensemble du territoire de l’Europe de l’Ouest, garantissant ainsi l'impact le plus fort là où cela s'avérait nécessaire.
Q. Quel est le statut de la restitution de l’eau dans les BU du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ?
R. La Business Unit Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) inclut certains des pays affichant les plus faibles ressources en eau de la planète. Plusieurs de ces pays sont également confrontés à des conflits et à des troubles sociaux.
Malgré les défis que cela représentait pour atteindre les objectifs du Programme de restitution, Coca‑Cola a restitué près de 1,7 milliard de litres d’eau, soit 18 % de son volume de vente, en 2015. Cela passe par une palette de programmes tels que la fourniture d’eau potable aux populations locales éloignées d’Égypte et du Ghana ainsi que la gestion des bassins hydrologiques du Parc national d’Ayubia au Pakistan.
Il reste encore beaucoup de travail, et des actions destinées à intensifier les progrès en matière de gestion de l’eau sont actuellement mises au point afin d’atteindre les objectifs de restitution que nous nous sommes fixés pour 2020.
GÉNÉRALITÉS
Q. Pourquoi Coca‑Cola se soucie-t-elle de l’eau ?
R. L’accès à l’eau potable est indispensable à la santé des communautés. L’eau potable est essentielle pour les écosystèmes, indispensable pour la prosperité économique et vitale pour notre activité. L’eau est l’ingrédient principal de nos boissons ; elle est primordiale dans nos procédés de fabrication et nécessaire à la culture des produits agricoles que nous utilisons.
Nous attachons une importance particulière à la protection des sources d'eau locales car les communautés qui accueillent nos usines d'embouteillage constituent également notre base de consommateurs - nous vendons nos produits là où nous les fabriquons. Si ces communautés restent solides, notre activité restera solide. Outre les principes écologiques et éthiques qui motivent notre gestion de l’eau, nous avons également un intérêt commercial dans la protection et la modernisation des sources d’eau locales.
Q. Que fait Coca‑Cola pour résoudre les problèmes liés à la quantité d’eau ?
R. Chaque année, notre système mondial utilise l’eau de façon plus efficace en réduisant les quantités utilisées par litre de produit, alors même que les volumes de production sont en augmentation. Notre efficacité s’est effectivement améliorée de plus de 27 % en 13 ans et notre système mondial est bien parti pour atteindre un objectif d’amélioration de 25 % d’ici à 2020.
Q. Travaillez-vous avec d’autres entreprises, voire des concurrents ?
R. En ce qui concerne l’eau, nous collaborons intensément avec d’autres entreprises, y compris des concurrents et nous en sommes fiers. Les défis de l’eau constituent des défis partagés quel que soit le cadre où ils se présentent. La durabilité de nos réserves d’eau communes est une problématique qui dépasse, selon nous, les questions de concurrence. Nous sommes concurrents sur le marché mais sommes conscients qu’une action collective est nécessaire en matière de durabilité de l’eau. Particuliers, communautés, écosystèmes, agriculteurs, entreprises... nous avons tous besoin de ressources en eau durables. Dans la plupart des cas, l’action ou l'inaction d’un seul utilisateur d’eau serait insuffisante pour apporter une réponse globale aux principaux défis liés à l’eau.
Dans toutes les actions que nous menons en dehors de nos usines, nous nous efforçons de rechercher et d’harmoniser les objectifs et de travailler ensuite avec des partenaires. Cette collaboration tire parti des ressources de l’ensemble des partenaires, encourage les projets présentant un impact supérieur et, espérons-le, crée une dynamique pour pousser d’autres intervenants à nous rejoindre. À cet égard, les nombreux « Fonds Eau » auxquels nous participons avec The Nature Conservancy notamment, constituent un excellent exemple. Par définition, de tels fonds requièrent que le plus grand nombre possible d’utilisateurs d’eau situés dans un même bassin hydrologique unissent leurs forces.
Pour prendre un exemple clair, PepsiCo, notre principal concurrent sur de nombreux marchés, est un partenaire actif de notre engagement pour une politique liée à l’eau auprès du 2030 Water Resources Group.
Le partenariat avec d’autres entreprises va au-delà du
Au niveau national, Coca‑Cola est partenaire du Comité National Olympique et Sportif Français, de la Fédération Française Handisport (depuis 1985), de la Fédération Française de Football, de l’équipe de France de Coupe Davis de Tennis, de Roland Garros, de l’Ecole du ski Français, du Palais Omnisport de Paris Bercy, du Stade de France depuis son inauguration en 1997, des clubs de football de Ligue 1 (Marseille, PSG, Lyon).
Notre boisson Powerade est la boisson officielle de l’Equipe de France Olympique mais également partenaire de Teddy Riner, depuis 2011. Par ailleurs, nous sommes engagés au côté de l’Etat à accompagner plusieurs sportifs de haut niveau qui se préparent pour les Jeux olympiques et paralympiques de Rio en 2016.
Coca‑Cola Entreprise est engagée dans différents programmes pour préserver les ressources en eau de la planète et réduire l’empreinte de notre activité sur l’environnement.
Avec pour ambition à l’horizon 2020 de :
Réduire de manière significative la consommation d’eau utilisée dans les usines
(1,22l est la quantité totale d'eau utilisée pour produire 1L de boisson dans l'usine de Grigny, qui détient ainsi le record mondial d'économie en Eau).
Réduire de 25 % la quantité de matériaux utilisés dans l’ensemble des formats d’emballages.
Réduire l’impact environnemental des véhicules de transport avec pour objectif, à horizon 2020, de transporter chaque caisse de produit avec 20 % d’émission de carbone en moins.
Le Point Vert indique l’adhésion de Coca‑Cola au financement du programme d’Eco Emballages qui vise à trier et à valoriser les déchets d’emballages ménagers. Ce point Vert est aujourd’hui présent sur 95% des emballages.
Le logo rond avec la bouteille contour est un élément de la charte graphique.
Depuis novembre 2011, il existe un nouveau logo sur les bouteilles de Coca‑Cola, celui de l’emballage PlantBottle. Coca‑Cola a introduit du plastique PET (polyéthylène téréphtalate) d’origine végétale pour les bouteilles de 50cl des marques Coca‑Cola, Coca‑Cola light, Coca‑Cola zero et Coca‑Cola cherry. Cet emballage est composé d’un nouveau plastique PET qui est d’origine végétale (jusqu’à 22,5%) associé à 25% de plastique PET recyclé. Il se recycle de la même façon que le plastique PET traditionnel, mais c’est un matériau innovant puisqu’il provient de la canne à sucre.
Aujourd’hui l’emballage PlantBottle de Coca‑Cola est produit et distribué dans 16 pays du monde parmi lesquels le Brésil, les Etats-Unis, le Canada, le Japon, le Mexique, la Suède, l’Afrique du Sud, l’Allemagne (…) et la France bien sûr. Pour l’ensemble de nos produits, les conditionnements sont recyclables à 100%.
Une loi en France suspend la fabrication, l'importation, l'exportation et la mise sur le marché de tout conditionnement, contenant ou ustensile comportant du Bisphénol A et destiné à entrer en contact direct avec les denrées alimentaires, et ce depuis le 1er janvier 2015.
À l'instar de l'ensemble du secteur des produits alimentaires et de ses fournisseurs, nous respectons scrupuleusement cette loi en France, comme nous respectons celle de tous les pays où nous sommes présents. La sécurité des consommateurs est notre priorité et nos boissons et nos emballages respectent des standards de qualité qui vont au-delà de la règlementation en vigueur.
Le recyclage du métal des canettes fournit 50 % de la matière première des nouvelles canettes.
Les bouteilles en verre vendues en café sont à nouveau remplies après avoir subi un nettoyage, un contrôle et un rinçage. Celles qui sont inutilisables pour être remplies une nouvelle fois sont éliminées dans les containers à verre puis recyclées. 35 % de verre recyclé compose la nouvelle bouteille en verre de Coca‑Cola.
Quant au PET, il est réutilisé pour la fabrication de nouvelles bouteilles ou, sous forme de fibres de polyester dans l’ameublement et l’habillement.
Coca‑Cola Entreprise utilise des canettes en acier et en aluminium. Ces matières peuvent se recycler à l’infini.
L'usage des bouteilles PET chez Coca‑Cola
Les trois lettres PET forment l'abréviation de polyéthylène-téréphtalate. Le PET est utilisé dans la fabrication des bouteilles en plastique Coca‑Cola, soit 32 % des emballages en unités, contre 60 % pour les canettes et 8 % pour le verre. Recyclables à 100 %, du bouchon à l’étiquette, les bouteilles en plastique PET Coca‑Cola sont composées d’un mélange de PET vierge et recyclé - un plastique provenant du site de recyclage Infinéo, en ligne avec le principe de l’économie circulaire. En France, l’intégralité de nos bouteilles en plastique sont d’ores et déjà recyclables à 100 % et composées de plastique PET recyclé à hauteur de 29 % en 2020. Aujourd’hui, les bouteilles de Smartwater, Honest et Fuze Tea sont toutes fabriquées à partir de 100% plastique recyclé. Les marques Coca‑Cola, Fanta et Sprite ont-elles aussi amorcé leur transformation, et contiennent 50% de plastique recyclé, avec pour objectif d’arriver rapidement à 100% de plastique recyclé.
Quelles sont les qualités des bouteilles en plastique PET ?
De plus en plus utilisé dans les industries agroalimentaire et pharmaceutique pour le conditionnement des liquides, le polyéthylène-téréphtalate est obtenu par condensation de l’acide téréphtalique et de l’éthylène glycol. Doté d’importantes qualités de conservation, le PET a une empreinte carbone faible. D’une part en raison de sa faible température de transformation (250°), quatre fois inférieure à celle du verre (1000°) elle permet de réaliser d’importantes économies d’énergie, d’autre part en raison de son faible poids ainsi que de sa résistance. Deux qualités qui permettent de réduire la quantité d’emballage des produits mais aussi les dépenses énergétiques liées au transport.
Pourquoi utiliser du plastique PET ?
L’un des avantages du plastique PET réside également dans le très faible coût énergétique de son recyclage. Une fois trié, le matériau parfaitement adapté au recyclage mécanique est compressé sous forme de billes prêtes à être réutilisées jusqu’à quatre fois. Le plastique PET peut également subir un recyclage chimique peu coûteux en énergie et permettant sa réutilisation à l’infini.
Infinéo fait rimer innovation avec éducation et sensibilise sur l’usage du plastique PET dans les bouteilles
Infinéo est une co-entreprise entre Plastipak et Coca‑Cola European Partners. L’usine de recyclage produit, grâce à un investissement de 8,7 millions d’euros de Coca‑Cola European Partners, 48 000 tonnes de PET recyclé par an. Un rendement rendu possible par une nouvelle ligne de production inaugurée en 2012.
Infinéo, c’est aussi un espace pédagogique. Un lieu où chaque année, 2000 visiteurs sont accueillis et participent à des ateliers visant à les sensibiliser aux gestes de tri, aux différentes étapes du processus de valorisation et à la « seconde vie » des produits recyclés. Inauguré en 2013, ce centre pédagogique a rencontré un succès immédiat et neuf visiteurs sur dix se disent satisfaits de leur visite.
Le respect de l’environnement constitue une priorité et nous poursuivons activement un programme continu de recherche et de développement en matière de recyclage. Toutes nos bouteilles plastiques PET contiennent du PET recyclé, ainsi que du PET d’origine végétale.
Nous utilisons des matériaux recyclés : intégration de 25 % en moyenne de plastique recyclé dans les bouteilles PET, de 50% de métal recyclé en moyenne pour les canettes et de 35 % de verre recyclé pour les bouteilles en verre.
Nous avons participé à la mise en place de collecteurs de tri sélectifs avec des partenaires comme les parcs de loisirs, les collectivités locales ou les restaurateurs.
Pour toute information complémentaire, nous vous invitons à consulter les articles dédiées ici. De plus, nous considérons les emballages comme de nouvelles ressources : Coca‑Cola est partenaire du Prix du design durable et s'est associé à Emeco pour créer la chaise 111 navy Chair réalisée à partir de bouteilles plastiques recyclées.
Elle correspond à la date de durabilité minimale (DDM), anciennement appelée date limite d'utilisation optimale (DLUO). La mention de la DDM est une obligation légale. C'est une indication garantissant la qualité optimale du produit. Ce n'est pas une date de péremption ou une date limite de consommation. Seulement, après cette date, le produit pourrait ne plus correspondre aux standards de qualité élevée.
En 2021, l’index d’égalité professionnelle de Coca‑Cola Services France SAS est de 94%.
Vous trouverez le détail dans le tableau ci-dessous :
En 2021, l’index d’égalité professionnelle de Coca‑Cola Midi SAS est de 84%.
Vous trouverez le détail dans le tableau ci-dessous :
Objectifs de progression 2022 index d'égalité professionnelle