Réduire, recycler, réutiliser : trois étapes vers un emballage durable

Bouteille en verre ou en PET ? Ou tout bonnement la canette en aluminium ? Lequel de ces emballages de boisson a une longueur d’avance en matière de développement durable ? Nous avons posé la question aux experts de Coca‑Cola Suisse!

2021/04/13

Réduire : moins, c’est plus

La chose la plus importante qu’on demande à une bouteille, c’est qu’elle offre à son contenu la meilleure protection et la plus longue durée de conservation possible. Après tout, il serait dommage que la production des ingrédients et la fabrication de la boisson aient été vains. Les trois types d’emballage répondent à cette exigence. Le verre offre une protection du produit particulièrement efficace, mais son poids est relativement élevé et son transport engendre par conséquent davantage d’émissions que l’aluminium, beaucoup plus léger.

Bouteille Light-Weight En plus d’être léger, il protège son contenu à la perfection: la nouvelle bouteille Light-Weight de Coca‑Cola Suisse.

L’utilisation efficace du matériau d’emballage est donc beaucoup plus importante que le choix de celui-ci : moins on en utilise, mieux c’est pour l’environnement. C’est là que le PET marque des points par rapport à ses « concurrents ». En plus d’être léger, il protège son contenu à la perfection. C’est ainsi que la bouteille Light-Weight a récemment permis à Coca‑Cola Suisse d’économiser près de 510 tonnes de PET par an.

Le recyclage : un facteur décisif pour le développement durable

Tous les types d’emballages ont donc leurs avantages et leurs inconvénients. Et cela vaut tant pour le verre que pour le PET et l’aluminium : aucun n’est durable s’il n’est pas éliminé dans les règles !

Pour la protection de l’environnement, le facteur décisif est le recyclage Plus une bouteille est réutilisée, plus son impact sur l’environnement est positif.

Avec un taux de recyclage de plus de 83 %, les Suisses font figure de modèle à suivre. Quant aux canettes en aluminium, notre pays affiche même fièrement un taux de 95 %. Or Coca‑Cola s’engage en faveur du recyclage, et ce non seulement en Suisse, mais dans le monde entier. À l’horizon 2030, l’entreprise entend collecter et recycler une bouteille pour chaque bouteille vendue.

Réutilisation : une nouvelle vie pour chaque bouteille

Mais pour pouvoir véritablement parler de recyclage, encore faut-il que le cycle des matériaux soit fermé. Et que les bouteilles usagées donnent vie à des bouteilles neuves ! Cette ultime étape vers un emballage durable est réalisable avec le rPET ou polyéthylène téréphtalate (PET) recyclé, une matière première de qualité alimentaire produite à partir de contenants PET vides.

Les paillettes de rPET sont fondues pour créer des préformes en PET, qui sont à leur tour soufflées pour former de nouvelles bouteilles Les paillettes de rPET sont fondues pour créer des préformes en PET, qui sont à leur tour soufflées pour former de nouvelles bouteilles

VALSER est le premier producteur d’eau minérale de Suisse à avoir utilisé des bouteilles PET composées à 100 % de rPET, c’est-à-dire de PET recyclé. Le rPET représente 57 % de l’ensemble de l’assortiment de Coca‑Cola Suisse, un taux qui dépassera 63 % d’ici fin 2021. Pour comparaison, 40 % environ des bouteilles à boissons en PET fabriquées en Suisse sont issues de rPET.

Sur la voie des emballages durables

Réduire, recycler, réutiliser : Coca‑Cola est un pionnier dans les trois étapes vers des emballages durables. L’entreprise ose également tester des modèles inédits. Avec la Marine Bottle , une bouteille en plastique marin, et la Paper Bottle, une bouteille en papier, l’entreprise a dévoilé des approches innovantes qui pourraient donner un nouveau visage aux emballages durables de demain.