Préserver les ressources en eau de la planète est donc pour Coca-Cola.

Vrai ou faux ? Ce qu'il faut savoir sur la préservation de l'eau chez Coca‑Cola

Coca‑Cola est engagée dans la protection de cette ressource précieuse qu’est l’eau, mais certaines idées reçues perdurent… Lesquelles ?

L’eau est l’ingrédient principal des boissons produites par Coca‑Cola, mais elle sert aussi à d’autres moments de la chaîne de valeur, comme par exemple le lavage des bouteilles consignées. Préserver les ressources en eau de la planète est donc primordial pour Coca‑Cola.

Les eaux usées de Coca‑Cola sont rejetées dans la nature.

VRAI mais après traitement uniquement !

Coca‑Cola en France est engagé depuis de nombreuses années à restituer l’eau qu’elle utilise pour la production de ses boissons. Les eaux usées sont soit traitées intégralement sur site, soit acheminées vers des stations de traitement qui rendent à la nature une eau adaptée à la vie aquatique.

1,2 milliard de litres d’eau sont restitués à la nature chaque année, soit 160% de l’eau utilisée pour la production de boissons. En France, Coca‑Cola est partenaire de WWF France pour la restauration de la zone humide de Camargue.

Ailleurs dans le monde, Coca‑Cola intervient notamment en Chine pour améliorer la qualité de l’eau de différents lacs et rivières, au Guatemala sur la gestion intégrée des bassins versants, en Australie sur la protection de la grande barrière de corail etc. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter notre rapport de développement durable TCCC (Sustainability Report TCCC) 2019.

La société Coca‑Cola prive certaines populations d’eau potable.

FAUX

La Fondation Coca‑Cola a été créée en 1984 et depuis lors, plus de 200 millions de dollars (environ 167 millions d’euros) ont été investis dans des projets liés à la préservation des ressources de la planète en eau, au bénéfice de plus de 32 millions de personnes. Ces programmes d'approvisionnement en eau permettent d’aider des millions de personnes dans le monde à avoir accès à l'eau potable et à protéger l'eau des rivières, des lacs et des aquifères.

Ainsi, en Afrique, par exemple, l'une des régions qui subit le plus la sécheresse et dont la population a le plus de difficultés à accéder à l’eau potable, Coca‑Cola a créé le programme RAIN (Replenish Africa Initiative), qui a permis de donner accès à l'eau potable à 6 millions de personnes en 2020. Ce projet, outre son impact sanitaire, a aussi permis l’émancipation des femmes et des petites filles, à qui la tâche de parcourir des kilomètres pour chercher l’eau incombait.

Au Mexique, les initiatives pour atteindre ces objectifs de gestion de l’eau (réduction, réutilisation, restitution et gestion de risques) sont menées conjointement par la Fondation Coca‑Cola, le Secrétariat mexicain de l'Environnement et des Ressources Naturelles (SEMARNAT), l’association Pro-Natura, la Commission nationale des forêts du Mexique (CONAFOR) et la Commission nationale des zones naturelles protégées du Mexique (CONANP). Et les résultats sont là : reforestation (plus de 200 000 arbres plantés), construction de réservoirs d’eau et installation de collecteurs d’eau dans l'État de Chiapas...

En Inde aussi, les projets de gestion durable de l’eau sont à l'œuvre, afin de réduire l’utilisation de l’eau et de restituer entièrement l’eau utilisée à la population et à la nature. Ainsi, la consommation d'eau par Coca‑Cola ne représente que 0,023 % des 40 milliards de mètres cubes d'eau consommés par les industries en Inde. En recyclant et en réutilisant l'eau, en identifiant et en mettant en œuvre des projets locaux qui revitalisent les bassins versants, la reconstitution de l'eau est de 148 % par rapport à l'eau totale utilisée dans les processus de fabrication.

La société Coca‑Cola ne fait rien pour protéger les océans et les mers de la pollution plastique.

FAUX

Coca‑Cola est partenaire de la Fondation de la Mer, une Fondation qui s’occupe de la préservation des océans et de l'écosystème marin, notamment à travers la lutte contre la pollution plastique . Grâce à ce partenariat et au programme « Un geste pour la mer », la Fondation Coca‑Cola ambitionne de collecter 50 tonnes de plastique par an. Pour sensibiliser à cet enjeu, mais aussi participer à sa résolution, Coca‑Cola continue ses recherches en R&D pour utiliser le plastique issu des déchets marins à la fabrication d’emballages innovants. Afin de réduire l’empreinte plastique, de nouvelles stratégies ont également été mises en place, telles que la suppression des films plastique et le remplacement par du carton sur les lots de canettes, la création de bouteilles en plastique 100% recyclé, l’investissement dans la filière du recyclage du plastique avec notamment Infineo qui permet de produire en France 48 000 tonnes de plastique recyclé (environ 1,5 milliard de bouteilles), mais aussi le développement des bouteilles en verre consignées et des fontaines de boissons. Ainsi, dans un démarche d’économie circulaire, tous les emballages mis sur le marché sont recyclables. Triés et recyclés, ils permettront de produire de nouveaux emballages, pour un monde sans déchets.  

Il faut plus d’1 litre d’eau pour fabriquer 1 litre de Coca‑Cola.

VRAI

Chaque année, Coca‑Cola réduit la consommation d’eau nécessaire à la production de ses boissons, grâce à la recherche et la mise en place de nouveaux procédés. En l’espace de treize années, son efficacité s’est globalement améliorée de plus de 27 %. Ainsi, il faut en moyenne 1,3 litre d’eau pour fabriquer 1 litre de boisson dans les usines d’embouteillages Coca‑Cola. Le record mondial de sobriété en eau est actuellement détenu par le site de Castanet-Tolosan, en France, avec une consommation moyenne, d’1,18 litre d’eau pour fabriquer 1 litre de boisson.
Rapporté à la consommation d’eau globale sur toute la chaîne de valeur de la fabrication de 50 cl de Coca‑Cola (emballage et production de tous les ingrédients), 35 litres d’eau sont utilisés contre 15 000 litres d’eau pour la production d’1 kg de viande bovine.