Coca‑Cola s'engage pour la préservation de l'eau en Europe
Coca‑Cola et tous les signataires de la déclaration des entreprises se joignent aux plus de 375 000 Européens ayant apporté leur soutien à la campagne #Protectwater de WWF.
Depuis 2000, et l'adoption de la directive-cadre sur l'eau (DCE), l'Union Européenne (UE) fixe un ensemble de règles visant à protéger et à promouvoir une gestion durable de l'eau. Mais aujourd'hui, ce texte est en danger. Certains acteurs européens, publics comme privés, cherchent à le réviser pour le rendre plus souple. Afin de préserver la directive dans sa forme actuelle, Coca‑Cola s’associe à 15 entreprises, et à des ONG comme le WWF, pour réaffirmer son soutien à la DCE à travers une déclaration commune.
L'eau douce est une ressource unique indispensable à la vie mais pas seulement. Elle est essentielle au fonctionnement de l'économie, ainsi qu'à la stabilité, à la prospérité et à la paix en Europe. Son accès doit donc être garanti pour tous. Pourtant, avec le changement climatique, le continent européen est plus que jamais vulnérable aux sécheresses, aux inondations, aux feux de forêt... Pour Coca‑Cola, comme pour tous les signataires de la déclaration des entreprises, seule une gestion saine de l'eau, couplée à la protection et à la restauration des écosystèmes d'eau douce, peuvent contribuer à réduire ces risques. C'est la raison pour laquelle Coca‑Cola a choisi de s'engager à préserver la DCE dans sa forme actuelle, et de s'assurer de sa bonne application. Elle est soutenue dans sa démarche par 15 autres groupes (H&M, Veolia, Suez...), ainsi que par les ONG regroupées dans la coalition “Living rivers Europe”, portée par le WWF.
Coca‑Cola et tous les signataires de cette déclaration des entreprises se joignent aux plus de 375 000 Européens ayant apporté leur soutien à la campagne #Protectwater de WWF. L'objectif est clair : maintenir le cadre réglementaire fixé par la DCE, qui assure depuis 20 ans la protection et la promotion d'une gestion durable des eaux de surface et souterraines. Il va même falloir redoubler d'efforts, car malgré les initiatives des gouvernements, des entreprises, des associations et des particuliers, il reste beaucoup de travail pour restaurer toutes les eaux européennes d'ici 2027, comme le prévoit la DCE. À l'heure actuelle, seuls 40% des rivières, lacs et zones humides européens sont considérés en bonne santé. Avec ces données en tête, il n'est pas difficile d'imaginer la catastrophe que représenterait un assouplissement de la directive-cadre sur l'eau.
Coca‑Cola et la protection de l'eau, un engagement profond
Coca‑Cola s'engage à limiter son impact sur l'environnement, et la protection de l'eau, essentielle à son activité, fait partie de ses préoccupations majeures. Depuis sa création en 1984, la Fondation Coca‑Cola a investi plus de 200 millions de dollars dans des projets liés à l'eau. Parmi eux, une initiative menée en Espagne a par exemple permis d'aider des agriculteurs à réduire leur consommation d'eau. Et, Coca‑Cola s'est fixé un objectif ambitieux : restituer à la nature la totalité de l'eau contenue dans ses boissons. Ainsi, grâce au plan de restauration de la Camargue en France, 1,2 milliard de litres d’eau sont restitués à la nature chaque année.
La préservation de la DCE est cruciale pour Coca‑Cola, qui œuvre depuis plus de 25 ans dans le domaine de l'eau. Cette action vise également à faire écho à la publication, le 29 avril 2020, de la stratégie de l'UE en faveur de la biodiversité par la Commission européenne. Aujourd'hui plus que jamais, il est urgent de renforcer la protection et la restauration des écosystèmes en Europe.